Abidjan, 14 mai (AIP) - Le directeur général de smart entreprise, une structure travaillant dans l’exploitation forestière, Gilles Diénot Gueu , qui a pris part à première édition de la Foire Internationale du commerce et de l’industrie d’Abidjan (FICIA) a confié, dans un entretien à l’AIP, samedi, que la mise en place d’une gouvernance forestière s’impose pour améliorer le couvert forestier ivoirien.
« Il faut mettre en place une bonne gouvernance forestière pour permettre de récupérer les reboisements faits par les exploitants forestiers qui constituent un vrai réservoir de couverture forestière » a déclaré le patron de smart entreprise ajoutant que l’activité d’exploitation forestière est « la seule opportunité en Côte d’Ivoire pour assurer un bon reboisement. «
Il a révélé que le reboisement constitue une obligation pour tout exploitant forestier qui a un code , qui a un marteau et exerçant dans des périmètres de concession forestière attribués par le ministère des eaux et forêts avec un ratio de sept arbres à replanter pour un seul coupé. Selon lui , la continuation des activités pour chaque entreprise d’exploitation forestière est soumise à la présentation d’un certificat de reboisement.
« Pourquoi ne pas mettre en place un système permettant de récupérer tous ces reboisements « s’interroge Gilles Diénot. Il préconise une communication sur les reboisements à faire par ces exploitants révélant que dès le premier trimestre de l’année, les sites de reboisement ainsi que les types de reboisement sont identifiés. M. Diénot propose que l ‘effectivité de la réalisation de ces exigences de reboisement soit contrôlée à temps opportun.
Basée à San-Pedro, Smart entreprise dont les domaines d’activités s’étendent de l’exploitation forestière à la protection environnementale et au développement et à la gestion immobilière est la seule dans le domaine de l’exploitation forestière à avoir pris part au FICIA, a-t-on appris.
(AIP)
akn/kam
« Il faut mettre en place une bonne gouvernance forestière pour permettre de récupérer les reboisements faits par les exploitants forestiers qui constituent un vrai réservoir de couverture forestière » a déclaré le patron de smart entreprise ajoutant que l’activité d’exploitation forestière est « la seule opportunité en Côte d’Ivoire pour assurer un bon reboisement. «
Il a révélé que le reboisement constitue une obligation pour tout exploitant forestier qui a un code , qui a un marteau et exerçant dans des périmètres de concession forestière attribués par le ministère des eaux et forêts avec un ratio de sept arbres à replanter pour un seul coupé. Selon lui , la continuation des activités pour chaque entreprise d’exploitation forestière est soumise à la présentation d’un certificat de reboisement.
« Pourquoi ne pas mettre en place un système permettant de récupérer tous ces reboisements « s’interroge Gilles Diénot. Il préconise une communication sur les reboisements à faire par ces exploitants révélant que dès le premier trimestre de l’année, les sites de reboisement ainsi que les types de reboisement sont identifiés. M. Diénot propose que l ‘effectivité de la réalisation de ces exigences de reboisement soit contrôlée à temps opportun.
Basée à San-Pedro, Smart entreprise dont les domaines d’activités s’étendent de l’exploitation forestière à la protection environnementale et au développement et à la gestion immobilière est la seule dans le domaine de l’exploitation forestière à avoir pris part au FICIA, a-t-on appris.
(AIP)
akn/kam