Gagnoa - Enseignants et élèves de la ville de Gagnoa ont repris le chemin de l’école, 24H après les tirs de mutins entendus dans la ville et une semaine après des mouvements des élèves pour réclamer la libération de deux des leurs en détention pour perturbation des cours.
"C’est mitigé, mais ils sont présents", a déclaré un éducateur du lycée moderne 1 de Gagnoa qui a confirmé par les propos d’un enseignant du lycée moderne 3 de Gagnoa estimant à une vingtaine le nombre d’élèves présents dans sa classe dans sa classe sur un effectif total de 56.
"Ils semblent motivés, vu qu’il s’agit d’une classe d’examen", a poursuivi l’enseignant.
Les élèves étaient visibles dans les rues de la ville, dès 6H 30 ce mardi, après une débandade constatée la veille dans les rues, après que des hommes en armes à bord de trois véhicules banalisés, se sont mis à tirer.
La mutinerie des soldats du contingent 8400 qui a débuté vendredi à Bouaké et Abidjan, s’est étendue à plusieurs villes du pays dont Gagnoa. Un communiqué du ministre de la Défense a annoncé, lundi soir, qu’un accord a été trouvé avec les mutins qui ont été invités à rentrer en caserne et à déposer les armes, pour permettre à la population civile de vaquer à ses occupations dans la quiétude, rappelle-t-on.
Dd/kp
"C’est mitigé, mais ils sont présents", a déclaré un éducateur du lycée moderne 1 de Gagnoa qui a confirmé par les propos d’un enseignant du lycée moderne 3 de Gagnoa estimant à une vingtaine le nombre d’élèves présents dans sa classe dans sa classe sur un effectif total de 56.
"Ils semblent motivés, vu qu’il s’agit d’une classe d’examen", a poursuivi l’enseignant.
Les élèves étaient visibles dans les rues de la ville, dès 6H 30 ce mardi, après une débandade constatée la veille dans les rues, après que des hommes en armes à bord de trois véhicules banalisés, se sont mis à tirer.
La mutinerie des soldats du contingent 8400 qui a débuté vendredi à Bouaké et Abidjan, s’est étendue à plusieurs villes du pays dont Gagnoa. Un communiqué du ministre de la Défense a annoncé, lundi soir, qu’un accord a été trouvé avec les mutins qui ont été invités à rentrer en caserne et à déposer les armes, pour permettre à la population civile de vaquer à ses occupations dans la quiétude, rappelle-t-on.
Dd/kp