Les gouvernements africains et leurs partenaires de développement devraient investir dans de nouvelles initiatives locales pour réduire le taux de décès élevés chez les jeunes du continent en raison des causes évitables, a déclaré l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un rapport publié à Nairobi mardi.
Le rapport intitulé "L'action mondiale accélérée sur la santé des adolescents: conseils pour soutenir la mise en œuvre dans tout pays", a précisé que l'Afrique subsaharienne représente 45% des prévisions de 1,2 million de cas de décès d'adolescents qui se produisent chaque année dans le monde entier.
Les responsables de l'OMS ont affirmé que le nombre élevé de décès d'adolescents devrait inciter les gouvernements nationaux, l'industrie et les bailleurs de fonds multilatéraux à accroître les investissements dans des services de santé préventifs et curatifs axés sur la jeunesse.
"Les adolescents ont été entièrement omis des plans nationaux de santé depuis des décennies. Les investissements relativement faibles axés sur les adolescents ne se traduiront pas seulement par des adultes sains et renforcés, mais produiront également des générations futures plus saines et généreront d'énormes rendements", a expliqué la directrice générale adjoint de l'OMS, Flavia Bustreo.
Le continent africain supporte le fardeau le plus lourd de décès d'adolescents liés à des causes évitables comme la pollution interne, les accidents de la route, le VIH/sida et les maladies diarrhéiques.
Selon un rapport de l'OMS publié en 2014, le taux éléve de décès chez les adolescents africains en raison de maladies transmissibles et de mode de vie a affecté les gains réalisés dans la santé maternelle et infantile.
Le rapport a dénoncé des politiques et des interventions de financement négligeant la santé physique et mentale des adolescents dans le deuxième continent du monde.
Le Directeur de la Santé maternelle, infantile et adolescente à l'OMS, Anthony Costello a laissé entendre que l'amélioration de la santé des jeunes africains aurait des résultats socio-économiques positifs, d'où la nécessité d'impliquer chacun pour atteindre cet objectif.
"L'amélioration de la façon dont les systèmes de santé servent les adolescents n'est qu'une partie de l'amélioration de leur santé. Les parents, les familles et les communautés sont extrêmement importants, car ils ont le plus grand potentiel pour influencer positivement le comportement et la santé des adolescents", a affirmé M. Costello.
Le nouveau rapport de l'OMS propose des interventions stratégiques telles qu'une éducation sexuelle complète dans les écoles, une limite d'âge plus élevée pour la consommation d'alcool, la réduction de la pollution intérieure et l'application de lois pour lutter contre le mauvais usage des armes à feu afin de contenir les décès intempestifs chez les jeunes africains.
Le rapport intitulé "L'action mondiale accélérée sur la santé des adolescents: conseils pour soutenir la mise en œuvre dans tout pays", a précisé que l'Afrique subsaharienne représente 45% des prévisions de 1,2 million de cas de décès d'adolescents qui se produisent chaque année dans le monde entier.
Les responsables de l'OMS ont affirmé que le nombre élevé de décès d'adolescents devrait inciter les gouvernements nationaux, l'industrie et les bailleurs de fonds multilatéraux à accroître les investissements dans des services de santé préventifs et curatifs axés sur la jeunesse.
"Les adolescents ont été entièrement omis des plans nationaux de santé depuis des décennies. Les investissements relativement faibles axés sur les adolescents ne se traduiront pas seulement par des adultes sains et renforcés, mais produiront également des générations futures plus saines et généreront d'énormes rendements", a expliqué la directrice générale adjoint de l'OMS, Flavia Bustreo.
Le continent africain supporte le fardeau le plus lourd de décès d'adolescents liés à des causes évitables comme la pollution interne, les accidents de la route, le VIH/sida et les maladies diarrhéiques.
Selon un rapport de l'OMS publié en 2014, le taux éléve de décès chez les adolescents africains en raison de maladies transmissibles et de mode de vie a affecté les gains réalisés dans la santé maternelle et infantile.
Le rapport a dénoncé des politiques et des interventions de financement négligeant la santé physique et mentale des adolescents dans le deuxième continent du monde.
Le Directeur de la Santé maternelle, infantile et adolescente à l'OMS, Anthony Costello a laissé entendre que l'amélioration de la santé des jeunes africains aurait des résultats socio-économiques positifs, d'où la nécessité d'impliquer chacun pour atteindre cet objectif.
"L'amélioration de la façon dont les systèmes de santé servent les adolescents n'est qu'une partie de l'amélioration de leur santé. Les parents, les familles et les communautés sont extrêmement importants, car ils ont le plus grand potentiel pour influencer positivement le comportement et la santé des adolescents", a affirmé M. Costello.
Le nouveau rapport de l'OMS propose des interventions stratégiques telles qu'une éducation sexuelle complète dans les écoles, une limite d'âge plus élevée pour la consommation d'alcool, la réduction de la pollution intérieure et l'application de lois pour lutter contre le mauvais usage des armes à feu afin de contenir les décès intempestifs chez les jeunes africains.