Yamoussoukro - Le Chef du village de Morofé, Nanan Georges Tanoh Kouassi a démenti mardi, lors d’un point de presse, tenu à son domicile, les accusations de ventes illicites de terrain, indexant plutôt un groupe restreint de jeunes révoltés qui veulent attenter à sa vie pour s’être opposé à leur malin désir de spolier le village de ses terres avec la complicité de certains promoteurs.
Le chef a expliqué que ces jeunes révoltés avaient envahi son domicile le 7 mai, dès 3 heures du matin, armés de machettes et de gourdins, cassant tout sur leur passage, puis avaient enflammé des pneus autour de sa maison. « La promptitude de la police du CCDO et de la garde républicaine nous a rendu la vie sauve », a déclaré le chef de Morofé.
Des populations de Morofé, ont réclamé samedi, la démission de leur chef, l’accusant de vendre leur terrain à travers les lotissements dont il est le seul bénéficiaire.
« Ce sont des accusations éhontées et des calomnies », a souligné le chef , faisant savoir que les parcelles notamment les sites du village SOS et du futur lycée artistique de Yamoussoukro entre le lycée BAD et le Cafop de Yamoussoukro, ne sont pas celles des lignages du village, mais relevant du domaine public pour l’extension du village.
« D’ailleurs, les montants respectifs de 70 millions francs CFA et de 120 millions francs CFA pour ces deux sites ne sont pas encore payés, ils peuvent aller vérifier », a autorisé le chef.
Le chef de Morofé a expliqué que, selon une loi retenue de façon consensuelle par le village, chaque fois que survient un lotissement d’une parcelle du village, le comité de gestion du foncier rural dans lequel les sept quartiers du village ont chacun deux représentants, se charge de distribuer les terrains ou les montants reçus aux habitants.
Nanan Tanoh Georges a fait remarquer que le comité provisoire, mis en place par ses détracteurs, est un acte inexistant. « D’ailleurs, c’est eux qu’on doit poursuivre », a fait savoir le chef, justifiant que des membres de ce groupe, faisant partie du comité de gestion du foncier rural, ont vendu des terrains devant revenir au villageois.
Le chef de Morofé, Nanan Georges Tanoh Kouassi a demandé à l’administration qui a en main l’affaire du foncier rural, de régler avec diligence le problème pour ramener la quiétude dans le village.
nam/fmo
Le chef a expliqué que ces jeunes révoltés avaient envahi son domicile le 7 mai, dès 3 heures du matin, armés de machettes et de gourdins, cassant tout sur leur passage, puis avaient enflammé des pneus autour de sa maison. « La promptitude de la police du CCDO et de la garde républicaine nous a rendu la vie sauve », a déclaré le chef de Morofé.
Des populations de Morofé, ont réclamé samedi, la démission de leur chef, l’accusant de vendre leur terrain à travers les lotissements dont il est le seul bénéficiaire.
« Ce sont des accusations éhontées et des calomnies », a souligné le chef , faisant savoir que les parcelles notamment les sites du village SOS et du futur lycée artistique de Yamoussoukro entre le lycée BAD et le Cafop de Yamoussoukro, ne sont pas celles des lignages du village, mais relevant du domaine public pour l’extension du village.
« D’ailleurs, les montants respectifs de 70 millions francs CFA et de 120 millions francs CFA pour ces deux sites ne sont pas encore payés, ils peuvent aller vérifier », a autorisé le chef.
Le chef de Morofé a expliqué que, selon une loi retenue de façon consensuelle par le village, chaque fois que survient un lotissement d’une parcelle du village, le comité de gestion du foncier rural dans lequel les sept quartiers du village ont chacun deux représentants, se charge de distribuer les terrains ou les montants reçus aux habitants.
Nanan Tanoh Georges a fait remarquer que le comité provisoire, mis en place par ses détracteurs, est un acte inexistant. « D’ailleurs, c’est eux qu’on doit poursuivre », a fait savoir le chef, justifiant que des membres de ce groupe, faisant partie du comité de gestion du foncier rural, ont vendu des terrains devant revenir au villageois.
Le chef de Morofé, Nanan Georges Tanoh Kouassi a demandé à l’administration qui a en main l’affaire du foncier rural, de régler avec diligence le problème pour ramener la quiétude dans le village.
nam/fmo