Gagnoa - L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) tient, depuis mardi à Gagnoa, un atelier de lancement et de renforcement des capacités d’une soixantaine d’acteurs locaux dans le cadre de son projet "Agriculture intelligente face au climat" (AIC) et de bioénergie durable.
Au regard de sa mission qui consiste à avoir un monde sans faim, la FAO a initié ce projet afin d’amener les agriculteurs de la planète à changer leur approche de production face au changement climatique qui a un réel impact sur les populations et la production agricole, a expliqué Bi Voko Guillaume Kouamé, expert national en environnement et gestion des risques de catastrophes à la FAO.
Il propose la transformation et la valorisation de la paille de riz après la récolte, au lieu de la brûler et polluer l’environnement.
Par rapport au décalage pluviométrique, l’expert FAO pense qu’une réflexion doit être menée, pour retenir la période de juin-juillet pour la semence du riz au lieu de celle d’avril-mai.
Enfin, à suivre M. Bi Voko, il faut s’adapter à de nouvelles pratiques agricoles dont l’agroforesterie et l’association de culture en privilégiant la chimie organique à la place des engrais qui émettent du méthane dans l’atmosphère.
L’atelier qui s’achève jeudi permettra aux 100 riziculteurs présélectionnés dans les localités de Guessihio et de Godélilié, dans le département de Gagnoa, de conduire, sur une période de 18 mois, le projet expérimental de la culture de riz irrigué (bas-fond Guessihio) et de riz pluvial (Godélilié).
L’AIC est un ensemble de mesures permettant à chaque producteur de participer, à son niveau, à la réduction des gaz émis dans la nature, d’aider à moins détruire la nature et de produire beaucoup plus, tout en s’adaptant aux réalités climatiques et décalages saisonniers, signale-t-on.
Les objectifs de l’AIC sont la quête pour l’amélioration de la productivité des agriculteurs, l’adaptation au changement climatique et l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre.
Dd/kp
Au regard de sa mission qui consiste à avoir un monde sans faim, la FAO a initié ce projet afin d’amener les agriculteurs de la planète à changer leur approche de production face au changement climatique qui a un réel impact sur les populations et la production agricole, a expliqué Bi Voko Guillaume Kouamé, expert national en environnement et gestion des risques de catastrophes à la FAO.
Il propose la transformation et la valorisation de la paille de riz après la récolte, au lieu de la brûler et polluer l’environnement.
Par rapport au décalage pluviométrique, l’expert FAO pense qu’une réflexion doit être menée, pour retenir la période de juin-juillet pour la semence du riz au lieu de celle d’avril-mai.
Enfin, à suivre M. Bi Voko, il faut s’adapter à de nouvelles pratiques agricoles dont l’agroforesterie et l’association de culture en privilégiant la chimie organique à la place des engrais qui émettent du méthane dans l’atmosphère.
L’atelier qui s’achève jeudi permettra aux 100 riziculteurs présélectionnés dans les localités de Guessihio et de Godélilié, dans le département de Gagnoa, de conduire, sur une période de 18 mois, le projet expérimental de la culture de riz irrigué (bas-fond Guessihio) et de riz pluvial (Godélilié).
L’AIC est un ensemble de mesures permettant à chaque producteur de participer, à son niveau, à la réduction des gaz émis dans la nature, d’aider à moins détruire la nature et de produire beaucoup plus, tout en s’adaptant aux réalités climatiques et décalages saisonniers, signale-t-on.
Les objectifs de l’AIC sont la quête pour l’amélioration de la productivité des agriculteurs, l’adaptation au changement climatique et l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre.
Dd/kp