Divo – Le ministre des infrastructures économiques, Koffi Kouakou Amédé, par ailleurs maire de Divo, a souhaité dimanche que les ressources mises à la disposition des populations impactées par l’activité minière à Agbaou, soient gérées avec « justice ».
« La justice c’est de répartir les projets sociaux aux villages selon le degré d’impact de la mine », a indiqué le ministre au cours d’une rencontre avec la presse après une cérémonie de paix et de réconciliation qu’il a présidé la veille dans le village d’Agbaou.
D’importantes ressources financières sont mises chaque année à la disposition du comité de développement local minier qui valide et exécute des projets d’intérêts communautaires au profit des villages impactés par la mine. M. Koffi a conseillé aux membres du comité dont des élus, cadres et agents de l’administration de ne pas exacerber les frustrations des populations et d’appliquer les textes en tenant compte des réalités du terrain.
« Ce sont les hommes qui ont écrit les textes et ce sont eux qui les appliquent » a souligné le ministre qui s’est dit disposé à sensibiliser les plus hautes autorités sur certaines faiblesses de l’arrêté interministériel qui régit les attributions et le fonctionnement des comités de développements.
L’étude d’impact environnemental de la mine d’Agbaou a identifié cinq villages impactés par les activités d’extraction d’or de "Agbaou Gold Operation". Cependant le village Agbaou qui donne son nom à la mine est le plus touché par l’activité, mais est réduit à partager équitablement les fonds dégagés annuellement pour le comité avec les quatre autres.
Cette situation déplaît fortement aux populations qui crient à l’injustice, rappelle-t-on.
gso/akn/kam
« La justice c’est de répartir les projets sociaux aux villages selon le degré d’impact de la mine », a indiqué le ministre au cours d’une rencontre avec la presse après une cérémonie de paix et de réconciliation qu’il a présidé la veille dans le village d’Agbaou.
D’importantes ressources financières sont mises chaque année à la disposition du comité de développement local minier qui valide et exécute des projets d’intérêts communautaires au profit des villages impactés par la mine. M. Koffi a conseillé aux membres du comité dont des élus, cadres et agents de l’administration de ne pas exacerber les frustrations des populations et d’appliquer les textes en tenant compte des réalités du terrain.
« Ce sont les hommes qui ont écrit les textes et ce sont eux qui les appliquent » a souligné le ministre qui s’est dit disposé à sensibiliser les plus hautes autorités sur certaines faiblesses de l’arrêté interministériel qui régit les attributions et le fonctionnement des comités de développements.
L’étude d’impact environnemental de la mine d’Agbaou a identifié cinq villages impactés par les activités d’extraction d’or de "Agbaou Gold Operation". Cependant le village Agbaou qui donne son nom à la mine est le plus touché par l’activité, mais est réduit à partager équitablement les fonds dégagés annuellement pour le comité avec les quatre autres.
Cette situation déplaît fortement aux populations qui crient à l’injustice, rappelle-t-on.
gso/akn/kam
