Divo – Le chef des chefs de la sous-préfecture de Divo, Tégbo Aliko a présidé mardi une séance de travail avec les paysans et l’association des éleveurs en vue de prévenir les conflits entre ces acteurs sociaux dont certaines incompréhensions débouchent généralement sur de graves violences.
« Je ne veux pas que Divo s’embrase pour des bœufs », a déclaré le chef Tégbo qui a invité les uns et les autres à se détourner de la violence comme voie de règlement des conflits. « Je demande pardon à tous car la force ne résout rien ».
Il y a quelques jours, les agriculteurs du village de Tabléguikou avaient détruits plusieurs enclos de bœufs au motif que ces bêtes détruisent régulièrement leurs plantations, rappelle-t-on.
Dans certains villages, il est interdit aux bœufs de circuler sous peine d’abattage.
Le secrétaire général de l’association des éleveurs, Gnambélé Seydou a imploré le pardon des victimes et indiqué que sa structure menait des réflexions pour proposer un code consensuel de réparation en cas de dégâts provoqué par les bêtes.
Une rencontre se tiendra dans les prochains jours à l’effet d’adopter des règles de bonne cohabitation entre paysans et éleveurs à Divo, a-t-on appris.
(AIP)
gso/fmo
« Je ne veux pas que Divo s’embrase pour des bœufs », a déclaré le chef Tégbo qui a invité les uns et les autres à se détourner de la violence comme voie de règlement des conflits. « Je demande pardon à tous car la force ne résout rien ».
Il y a quelques jours, les agriculteurs du village de Tabléguikou avaient détruits plusieurs enclos de bœufs au motif que ces bêtes détruisent régulièrement leurs plantations, rappelle-t-on.
Dans certains villages, il est interdit aux bœufs de circuler sous peine d’abattage.
Le secrétaire général de l’association des éleveurs, Gnambélé Seydou a imploré le pardon des victimes et indiqué que sa structure menait des réflexions pour proposer un code consensuel de réparation en cas de dégâts provoqué par les bêtes.
Une rencontre se tiendra dans les prochains jours à l’effet d’adopter des règles de bonne cohabitation entre paysans et éleveurs à Divo, a-t-on appris.
(AIP)
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