L’organisation des Premières Dames d’Afrique contre le VIH-SIDA (OPDAS) a tenu sa 19ème assemblée générale ordinaire (AGO) à Addis-Abeba. A cette occasion, Dominique Ouattara, la première dame ivoirienne a partagé l’expérience ivoirienne.
« S’appuyer sur 15 ans d’engagement pour exploiter le dividende démographique de l’Afrique en faisant la promotion des besoins des adolescents et de leur accès à des services de santé adaptés aux jeunes ! », tel est le thème principal de cette AGO qui s’est tenue en marge de la 29ème Assemblée générale de l’Union Africaine. Deux sessions de dialogue ont meublé la journée du mardi 4 juillet. La première a porté sur le thème« L’accès des adolescents à l’information et aux services en matière de santé sexuelle et reproductive est-il de la responsabilité des dirigeants de la santé et l’éducation ou bien des dirigeants familiaux et communautaires ? ». La seconde a traité du thème suivant : « Quel est le rôle des Premières Dames africaines dans la facilitation des investissements dans la santé des secteurs privés ?».
Dans son intervention sur la deuxième thématique, l’épouse du chef de l’Etat ivoirien a partagé l’expérience de la Côte d’ivoire.
« Il s’agit à travers ces échanges, de susciter davantage notre implication dans la promotion des investissements du secteur privé pour la santé de nos populations.
Aussi, notre engagement commun devrait-il aboutir à la mise en place de politiques et de stratégies basées sur un partenariat public-privé, en vue de lutter efficacement contre la pandémie du VIH/sida », a expliqué la Première Dame de Côte d’ivoire, avant de plaider en ces termes :
« (...) l’ONUSIDA a lancé l’objectif 90-90-90, pour l’éradication du VIH/sida, d’ici à 2020, Toutefois, cette problématique du VIH/sida dans nos pays est si complexe, qu’il est impératif de rechercher de nouvelles ressources pour atteindre cet objectif. Dans cette optique, notre rôle en tant que Premières Dames est de conduire des plaidoyers, pour contribuer à la mobilisation de ressources matérielles, financières et humaines tant aux niveaux national qu’international, afin d’appuyer nos gouvernements. De cette façon, ces plaidoyers auprès partenaires privés permettront de mieux équiper nos hôpitaux et centre de santé, en matériel moderne et adéquat » a indiqué Dominique Ouattara.
En sa qualité d’Ambassadeur spécial de l’ONUSIDA, pour l’Elimination de la Transmission-Mère-Enfant du VIH et pour la Promotion du Traitement Pédiatrique, l’épouse du chef de l’Etat ivoirien a déploré le traitement des enfants atteints du VIH avec des médicaments destinés aux adultes. « C’est pourquoi, j’invite sans cesse les firmes pharmaceutiques et nos généreux partenaires, à renforcer la mise à disposition d’antiré-troviraux, spécifiquement dans leur forme pédiatrique, pour une meilleure prise en charge de nos enfants », a plaidé Madame Dominique Ouattara.
Elle a également lancé un appel pour la formation continue des différents acteurs impliqués dans le processus de lutte contre le VIH-SIDA.
« C’est ensemble que nous parviendrons à éradiquer le VIH/Sida de notre continent », a conclu Madame Dominique Ouattara. Signalons que la Première Dame d’Ethiopie, Madame Roman Tesfaye a été élue par ses consœurs pour assurer pendant deux ans la présidence de l’OPDAS.
« S’appuyer sur 15 ans d’engagement pour exploiter le dividende démographique de l’Afrique en faisant la promotion des besoins des adolescents et de leur accès à des services de santé adaptés aux jeunes ! », tel est le thème principal de cette AGO qui s’est tenue en marge de la 29ème Assemblée générale de l’Union Africaine. Deux sessions de dialogue ont meublé la journée du mardi 4 juillet. La première a porté sur le thème« L’accès des adolescents à l’information et aux services en matière de santé sexuelle et reproductive est-il de la responsabilité des dirigeants de la santé et l’éducation ou bien des dirigeants familiaux et communautaires ? ». La seconde a traité du thème suivant : « Quel est le rôle des Premières Dames africaines dans la facilitation des investissements dans la santé des secteurs privés ?».
Dans son intervention sur la deuxième thématique, l’épouse du chef de l’Etat ivoirien a partagé l’expérience de la Côte d’ivoire.
« Il s’agit à travers ces échanges, de susciter davantage notre implication dans la promotion des investissements du secteur privé pour la santé de nos populations.
Aussi, notre engagement commun devrait-il aboutir à la mise en place de politiques et de stratégies basées sur un partenariat public-privé, en vue de lutter efficacement contre la pandémie du VIH/sida », a expliqué la Première Dame de Côte d’ivoire, avant de plaider en ces termes :
« (...) l’ONUSIDA a lancé l’objectif 90-90-90, pour l’éradication du VIH/sida, d’ici à 2020, Toutefois, cette problématique du VIH/sida dans nos pays est si complexe, qu’il est impératif de rechercher de nouvelles ressources pour atteindre cet objectif. Dans cette optique, notre rôle en tant que Premières Dames est de conduire des plaidoyers, pour contribuer à la mobilisation de ressources matérielles, financières et humaines tant aux niveaux national qu’international, afin d’appuyer nos gouvernements. De cette façon, ces plaidoyers auprès partenaires privés permettront de mieux équiper nos hôpitaux et centre de santé, en matériel moderne et adéquat » a indiqué Dominique Ouattara.
En sa qualité d’Ambassadeur spécial de l’ONUSIDA, pour l’Elimination de la Transmission-Mère-Enfant du VIH et pour la Promotion du Traitement Pédiatrique, l’épouse du chef de l’Etat ivoirien a déploré le traitement des enfants atteints du VIH avec des médicaments destinés aux adultes. « C’est pourquoi, j’invite sans cesse les firmes pharmaceutiques et nos généreux partenaires, à renforcer la mise à disposition d’antiré-troviraux, spécifiquement dans leur forme pédiatrique, pour une meilleure prise en charge de nos enfants », a plaidé Madame Dominique Ouattara.
Elle a également lancé un appel pour la formation continue des différents acteurs impliqués dans le processus de lutte contre le VIH-SIDA.
« C’est ensemble que nous parviendrons à éradiquer le VIH/Sida de notre continent », a conclu Madame Dominique Ouattara. Signalons que la Première Dame d’Ethiopie, Madame Roman Tesfaye a été élue par ses consœurs pour assurer pendant deux ans la présidence de l’OPDAS.