En marge de la 29ème Assemblée générale de l’Union africaine à Addis-Abeba, les épouses des chefs d’Etat se sont retrouvées pour la 19ème assemblée générale ordinaire de l’Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Vih-sida (Opdas). Lors de leur rencontre, elles ont réfléchi sur le thème : « S’appuyer sur 15 ans d’engagement pour exploiter le dividende démographique de l’Afrique, en faisant la promotion des besoins des adolescents et de leur accès à des services de santé adaptés aux jeunes ! » Le mardi 4 juillet 2017, l’Opdas a organisé deux sessions d’échanges, à savoir, « l’accès des adolescents à l’information et aux services en matière de santé sexuelle et reproductive, est-il la responsabilité des dirigeants de la santé et l’éducation ou bien des dirigeants familiaux et communautaires ? » et « Quel est le rôle des Premières Dames africaines dans la facilitation des investissements dans la santé des secteurs privés ?» La seconde thématique a permis à Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’ivoire, de partager son expérience, en tant que Première Dame engagée et Ambassadeur spécial de l’Onusida. « Il s’agit, à travers ces échanges, de susciter davantage notre implication dans la promotion des investissements du secteur privé, pour la santé de nos populations. Aussi, notre engagement commun devrait-il aboutir à la mise en place de politiques et de stratégies basées sur un partenariat public-privé, en vue de lutter efficacement contre la pandémie du VIH/sida.
L’Onusida a lancé l’objectif 90-90-90, pour l’éradication du VIH/sida, d’ici à 2020. Toutefois, cette problématique du VIH/sida dans nos pays, est si complexe, qu’il est impératif de rechercher de nouvelles ressources pour atteindre cet objectif. Dans cette optique, notre rôle en tant que Premières Dames, est de conduire des plaidoyers, pour contribuer à la mobilisation de ressources matérielles, financières et humaines tant aux niveaux national qu’international, afin d’appuyer nos gouvernements », a-t-elle plaidé, avant de donner des exemples de partenariat avec les firmes pharmaceutiques Merck et Alere, Unitaid et la fondation Elisabeth Glaser qui a permis de mettre sur pied un appareil médical révolutionnaire pour le diagnostic précoce des nourrissons.
L’Onusida a lancé l’objectif 90-90-90, pour l’éradication du VIH/sida, d’ici à 2020. Toutefois, cette problématique du VIH/sida dans nos pays, est si complexe, qu’il est impératif de rechercher de nouvelles ressources pour atteindre cet objectif. Dans cette optique, notre rôle en tant que Premières Dames, est de conduire des plaidoyers, pour contribuer à la mobilisation de ressources matérielles, financières et humaines tant aux niveaux national qu’international, afin d’appuyer nos gouvernements », a-t-elle plaidé, avant de donner des exemples de partenariat avec les firmes pharmaceutiques Merck et Alere, Unitaid et la fondation Elisabeth Glaser qui a permis de mettre sur pied un appareil médical révolutionnaire pour le diagnostic précoce des nourrissons.