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Adzopé - Dix sept acteurs et partenaires de la filière cacao d’Afféry ont bénéficié d'une formation en vue de leur permettre d’améliorer leur rapport avec leur conjoint pour une vie de couple heureuse.
Un cabinet, E.D.E Consulting, a dispensé la formation qui a bénéficié du financement la fondation de Jacob. L’activité s’inscrit dans le cadre du projet intitulé « Transformer l’éducation dans les communautés de cacao (TRECC) » dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie en milieu paysan.
L’atelier tenu mercredi a porté sur le thème « Amélioration des relations de genre dans les ménages des agriculteurs et des communautés producteurs de cacao en Côte d’Ivoire ».
Le formateur, Kouassi Jean-Baptiste, a appelé les participants à mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris au cours de cette formation de sorte à pouvoir mettre en place un réseau, afin d’intégrer le volet genre au sein de leur communauté. Selon lui, ne pas prendre en compte le genre en milieu paysan peut avoir des répercutions négatives sur la production et même les conditions de vie des ménages.
« Je suis vraiment satisfait de ce que j’ai appris, je sais maintenant qu’il faut avoir une meilleure relation avec ma femme car cela peut nous aider à mieux vivre », a commenté l'un des participants, Yapo Eugène, producteur à Afféry.
Représentant de la structure SACO, partenaire de la filière cacao, Gnanzon Jean-Claude a souhaité que ce genre de formation soit répété et élargi afin de toucher un plus un grand nombre de producteurs.
ibt/kg/cmas
Un cabinet, E.D.E Consulting, a dispensé la formation qui a bénéficié du financement la fondation de Jacob. L’activité s’inscrit dans le cadre du projet intitulé « Transformer l’éducation dans les communautés de cacao (TRECC) » dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie en milieu paysan.
L’atelier tenu mercredi a porté sur le thème « Amélioration des relations de genre dans les ménages des agriculteurs et des communautés producteurs de cacao en Côte d’Ivoire ».
Le formateur, Kouassi Jean-Baptiste, a appelé les participants à mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris au cours de cette formation de sorte à pouvoir mettre en place un réseau, afin d’intégrer le volet genre au sein de leur communauté. Selon lui, ne pas prendre en compte le genre en milieu paysan peut avoir des répercutions négatives sur la production et même les conditions de vie des ménages.
« Je suis vraiment satisfait de ce que j’ai appris, je sais maintenant qu’il faut avoir une meilleure relation avec ma femme car cela peut nous aider à mieux vivre », a commenté l'un des participants, Yapo Eugène, producteur à Afféry.
Représentant de la structure SACO, partenaire de la filière cacao, Gnanzon Jean-Claude a souhaité que ce genre de formation soit répété et élargi afin de toucher un plus un grand nombre de producteurs.
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