Préparer la rentrée scolaire 2017-2018 en contribuant aux dépenses liées à cette période qui donne des vertiges aux parents d’élèves , éviter de tomber en grossesse ou s’exposer aux vices de la société pendant les vacances période de liberté ou la surveillance parentale est souvent souple tel est le credo de ces jeunes filles et garçons des lycées et collèges de korhogo et Bouaké. En effet ces jeunes filles et garçons tous élèves en vacances ont opté pour s’ occuper pendant ces vacances scolaires 2016-2017 à la vente des produits ‘’attoté’’ par le marketing et recevant en retour des sommes qui varient de 2000F à 7000 F par jour. Un rendement qui se paie cache selon les compétences de rendements chacun .
Le 19 juillet 2017 nous les avons rencontrés au siège ‘’d’attoté situé ’ à korhogo dans le Nord de la Côte d’Ivoire. C’était en présence du fondateur lui-même Ouattara Djakaridja dit ‘’attoté’’...Tout dépend de la compétence de vente de chacun à savoir le nombre de bouteilles vendues par jour augmente ou diminue le gain et il nous paye cash » a déclaré Mlle Kadiatou Fousseni en classe de 2nd au lycée moderne jeune filles de Bouaké. Pour Mlle Dela Salimata en classe de 2nd admise en classe de 1ere à la rentré 2017-2018 au collège moderne Obama de Bouaké « je me sens à l’aise au lieu de rester assise à la maison et mûrir de mauvaises idées ou avoir de mauvaises compagnies . J’arrive à satisfaire mes petits besoins sans emmerder les parents ». Je veux aider mes parents à payer mes fournitures scolaires à la rentrée scolaire prochaine car je ne suis pas la seule à l’école. J’économise le peu que je gagne » a indiqué de son côté Mlle Bakayoko Fatim du collège moderne Djibo Soukalo de Bouaké. « Que nous, les filles nous nous battions au lieu de se laisser toujours à la charge des parents ou du petit ami. Il faut se battre sainement dans la vie ont souligné Kouakou Nicodeme et Ouattara Aicha du lycée moderne de korhogo, admis en classe de Terminale D à la rentrée scolaire prochaine.
Le fondateur ‘’d’attoté’’ Ouattara Djakaridja en père de famille a dit louer le courage de ces jeunes filles et garçons qui ont décidé de se battre dans la vie et surtout par ces occupations saines notamment se protéger des grossesses précoces, « Je ne rejette personne, seulement il faut être de bonne moralité et savoir ce qu’on vient faire chez ‘’attoté’’ qui est d’abords social. . C’est vrai il y a le côté pécuniaire mais ce qui importe ici chez ‘’attoté’’ c’est le côté social que nous essayons d’apporter à tous mes collaborateurs. Je vous informe qu’au-delà des jeunes gens il y a aussi des femmes veuves et des hommes qui ont perdu leurs emplois qui gagnent leurs pains quotidiens avec ‘’attoté’’ à travers la production et la commercialisation sur tout le territoire ivoirien et ils arrivent à prendre en charge leurs familles, scolariser les enfants, payer les fournitures scolaires. Je pense contribuer à ma manière à la réduction du taux de chômage » a –il ajouté
Le proviseur du lycée moderne de Dikodougou N’Guessan Djetou a récemment présenté un tableau sombre de son établissement côté 13 cas de grossesses ont été dénombrés au cours de l’année scolaire 2016-2017.C’était au cours des festivités scolaires de fin d’année. « . Tous les 13 cas de filles enceintes ont été contractés pendant la période des vacances, au moment où nos élèves ont rejoint leurs familles respectives. Avant d’ exhorter les parents à être plus attentifs envers leurs progénitures au cours de cette période de vacances où la surveillance parentale est plus souple dans bon nombre de famille ».
B. T. (Correspondant)
Le 19 juillet 2017 nous les avons rencontrés au siège ‘’d’attoté situé ’ à korhogo dans le Nord de la Côte d’Ivoire. C’était en présence du fondateur lui-même Ouattara Djakaridja dit ‘’attoté’’...Tout dépend de la compétence de vente de chacun à savoir le nombre de bouteilles vendues par jour augmente ou diminue le gain et il nous paye cash » a déclaré Mlle Kadiatou Fousseni en classe de 2nd au lycée moderne jeune filles de Bouaké. Pour Mlle Dela Salimata en classe de 2nd admise en classe de 1ere à la rentré 2017-2018 au collège moderne Obama de Bouaké « je me sens à l’aise au lieu de rester assise à la maison et mûrir de mauvaises idées ou avoir de mauvaises compagnies . J’arrive à satisfaire mes petits besoins sans emmerder les parents ». Je veux aider mes parents à payer mes fournitures scolaires à la rentrée scolaire prochaine car je ne suis pas la seule à l’école. J’économise le peu que je gagne » a indiqué de son côté Mlle Bakayoko Fatim du collège moderne Djibo Soukalo de Bouaké. « Que nous, les filles nous nous battions au lieu de se laisser toujours à la charge des parents ou du petit ami. Il faut se battre sainement dans la vie ont souligné Kouakou Nicodeme et Ouattara Aicha du lycée moderne de korhogo, admis en classe de Terminale D à la rentrée scolaire prochaine.
Le fondateur ‘’d’attoté’’ Ouattara Djakaridja en père de famille a dit louer le courage de ces jeunes filles et garçons qui ont décidé de se battre dans la vie et surtout par ces occupations saines notamment se protéger des grossesses précoces, « Je ne rejette personne, seulement il faut être de bonne moralité et savoir ce qu’on vient faire chez ‘’attoté’’ qui est d’abords social. . C’est vrai il y a le côté pécuniaire mais ce qui importe ici chez ‘’attoté’’ c’est le côté social que nous essayons d’apporter à tous mes collaborateurs. Je vous informe qu’au-delà des jeunes gens il y a aussi des femmes veuves et des hommes qui ont perdu leurs emplois qui gagnent leurs pains quotidiens avec ‘’attoté’’ à travers la production et la commercialisation sur tout le territoire ivoirien et ils arrivent à prendre en charge leurs familles, scolariser les enfants, payer les fournitures scolaires. Je pense contribuer à ma manière à la réduction du taux de chômage » a –il ajouté
Le proviseur du lycée moderne de Dikodougou N’Guessan Djetou a récemment présenté un tableau sombre de son établissement côté 13 cas de grossesses ont été dénombrés au cours de l’année scolaire 2016-2017.C’était au cours des festivités scolaires de fin d’année. « . Tous les 13 cas de filles enceintes ont été contractés pendant la période des vacances, au moment où nos élèves ont rejoint leurs familles respectives. Avant d’ exhorter les parents à être plus attentifs envers leurs progénitures au cours de cette période de vacances où la surveillance parentale est plus souple dans bon nombre de famille ».
B. T. (Correspondant)