Le syndicat des producteurs libres de café-cacao de Côte d’Ivoire (SPLCC-CI) basé à Soubré est désormais opérationnel. Il entend, selon son secrétaire général, Kouassi Fils Beness, qui donnait une conférence de presse, mercredi, apporter des solutions aux problèmes qui minent la filière café-cacao afin de soulager les producteurs. La structure syndicale se réclame d’une nouvelle génération de producteurs. Elle veut lutter pour le mieux-être des planteurs en assurant le rôle de leur défenseur dans la filière.
«La crise actuelle dans la filière a créé beaucoup de frustrations. Cette situation déplorable dans laquelle vivent nos parents nous a poussé a créé ce syndicat où il est question de liberté et non de métamorphose, parce que dans le passé, bien de syndicats ce sont vu confier la tache de la défense de nos intérêts.
Aujourd’hui, le constat est clair. Non seulement leur illégitimité est avérée mais aussi ils ont fait montre de leur inefficacité», a-t-il justifié. C’est pourquoi le secrétaire général en faisant de la liberté syndicale en milieu agricole sa préoccupation entend apporter des solutions aux planteurs pour améliorer leur condition de vie. Il s’agit, entre autres, de convaincre le monde paysan à diversifier les cultures pour éviter de subir la chute brutale des prix, faire respecter effectivement le prix du kilogramme du café et du cacao dans les zones reculées, ouvrir des comptes aux planteurs pour éviter les braquages, régler le problème du foncier rural et des produits phyto, mettre à la disposition des planteurs une assurance maladie et leur faciliter l’octroi les prêts scolaires.
ROBALé Symphorien
«La crise actuelle dans la filière a créé beaucoup de frustrations. Cette situation déplorable dans laquelle vivent nos parents nous a poussé a créé ce syndicat où il est question de liberté et non de métamorphose, parce que dans le passé, bien de syndicats ce sont vu confier la tache de la défense de nos intérêts.
Aujourd’hui, le constat est clair. Non seulement leur illégitimité est avérée mais aussi ils ont fait montre de leur inefficacité», a-t-il justifié. C’est pourquoi le secrétaire général en faisant de la liberté syndicale en milieu agricole sa préoccupation entend apporter des solutions aux planteurs pour améliorer leur condition de vie. Il s’agit, entre autres, de convaincre le monde paysan à diversifier les cultures pour éviter de subir la chute brutale des prix, faire respecter effectivement le prix du kilogramme du café et du cacao dans les zones reculées, ouvrir des comptes aux planteurs pour éviter les braquages, régler le problème du foncier rural et des produits phyto, mettre à la disposition des planteurs une assurance maladie et leur faciliter l’octroi les prêts scolaires.
ROBALé Symphorien