Bouaflé – Le collectif des chefs traditionnels Gouro de la Marahoué a décidé de travailler dans la solidarité, la cohésion et l’entente, en vue de contribuer au développement de la région.
Lors d’une assemblée générale ordinaire organisée samedi à Bonon, à 30 km de Bouaflé (Centre-ouest), la centaine de chefs de village, de tribu et de canton issus des trois départements de la Marahoué, a décidé de taire les divergences et querelles afin de penser au bien-être de la région.
Selon le président du collectif, Zakouta Bi Kalé Mathias, il est indispensable de prôner l’union entre les chefs avant de se lancer dans le développement de la région. "J’ai invité mes pairs à discuter des problèmes qui concernent la chefferie et bannir certains langages qui ternissent l’image des chefs", a-t-il déclaré, en présence du maire de Bonon, Trazié Bi Guessan Alexis, parrain de la cérémonie.
Pour le chef Zakouta, la chefferie traditionnelle Gouro doit toujours rester digne en s’éloignant de la cupidité, la jalousie et la médisance, des maux qui empêchent la région d’emprunter le train du développement, selon lui.
Il a souhaité que cette assemblée générale soit un nouveau départ qui permettra aux trois départements d’amorcer leur évolution.
(AIP)
Zaar/kp
Lors d’une assemblée générale ordinaire organisée samedi à Bonon, à 30 km de Bouaflé (Centre-ouest), la centaine de chefs de village, de tribu et de canton issus des trois départements de la Marahoué, a décidé de taire les divergences et querelles afin de penser au bien-être de la région.
Selon le président du collectif, Zakouta Bi Kalé Mathias, il est indispensable de prôner l’union entre les chefs avant de se lancer dans le développement de la région. "J’ai invité mes pairs à discuter des problèmes qui concernent la chefferie et bannir certains langages qui ternissent l’image des chefs", a-t-il déclaré, en présence du maire de Bonon, Trazié Bi Guessan Alexis, parrain de la cérémonie.
Pour le chef Zakouta, la chefferie traditionnelle Gouro doit toujours rester digne en s’éloignant de la cupidité, la jalousie et la médisance, des maux qui empêchent la région d’emprunter le train du développement, selon lui.
Il a souhaité que cette assemblée générale soit un nouveau départ qui permettra aux trois départements d’amorcer leur évolution.
(AIP)
Zaar/kp