Tiassalé – La commune de Tiassalé dispose désormais d’un comité communal de lutte contre le racket (CCLR) présidé par le maire Sylla Soualhio.
Le comité a été installé, vendredi, lors d'une cérémonie officielle en présence de nombreuses personnalités. Situant le contexte et l'intérêt de la cérémonie d'installation du comité de lutte contre le racket, le directeur général de la Décentralisation et du Développement local, Dago Djahy Lazare a souligné qu'il s'agit de créer au niveau des collectivités locales des points focaux de lutte contre le racket et la corruption, selon le schéma de ce qui se fait au niveau national. "La lutte contre le racket doit avoir l'adhésion des populations au niveau local, elle doit se doit d'être participative", a-t-il insisté.
Le comité communal de lutte contre le racket, explique-t-on, est un cadre d'échanges et de concertation. Il est un dispositif de veille dans le cadre du contrôle de la corruption et la lutte contre le racket. Une fois installé, il devra sensibiliser et éduquer les populations sur les pratiques de la bonne gouvernance, mais aussi dénoncer toutes les atteintes à la bonne gouvernance.
"La corruption est à tous les niveaux de la société ivoirienne. Tout le monde est donc interpellé", a soutenu le représentant le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Dja Blé Joseph.
Le président du comité communal de lutte contre le racket, le maire Sylla Soualhio a, pour sa part, invité les autres membres du comité (des représentants des média et la société civile, de la chefferie traditionnelle et religieuse, de la justice et des forces de sécurité) à s'armer de courage pour arriver à bout du racket dans la commune.
Le comité communal de Tiassalé est le onzième du genre dans le cadre du MCC qui est un vaste programme d'aide au développement du gouvernement américain en direction des pays pauvres auquel la Côte d'ivoire a été éligible en 2015.
kd/kkf/fmo
Le comité a été installé, vendredi, lors d'une cérémonie officielle en présence de nombreuses personnalités. Situant le contexte et l'intérêt de la cérémonie d'installation du comité de lutte contre le racket, le directeur général de la Décentralisation et du Développement local, Dago Djahy Lazare a souligné qu'il s'agit de créer au niveau des collectivités locales des points focaux de lutte contre le racket et la corruption, selon le schéma de ce qui se fait au niveau national. "La lutte contre le racket doit avoir l'adhésion des populations au niveau local, elle doit se doit d'être participative", a-t-il insisté.
Le comité communal de lutte contre le racket, explique-t-on, est un cadre d'échanges et de concertation. Il est un dispositif de veille dans le cadre du contrôle de la corruption et la lutte contre le racket. Une fois installé, il devra sensibiliser et éduquer les populations sur les pratiques de la bonne gouvernance, mais aussi dénoncer toutes les atteintes à la bonne gouvernance.
"La corruption est à tous les niveaux de la société ivoirienne. Tout le monde est donc interpellé", a soutenu le représentant le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Dja Blé Joseph.
Le président du comité communal de lutte contre le racket, le maire Sylla Soualhio a, pour sa part, invité les autres membres du comité (des représentants des média et la société civile, de la chefferie traditionnelle et religieuse, de la justice et des forces de sécurité) à s'armer de courage pour arriver à bout du racket dans la commune.
Le comité communal de Tiassalé est le onzième du genre dans le cadre du MCC qui est un vaste programme d'aide au développement du gouvernement américain en direction des pays pauvres auquel la Côte d'ivoire a été éligible en 2015.
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