Abidjan – Le programme des Nations unies pour le développement (PNUD) organise, jeudi et vendredi, un atelier de renforcement de capacités de 50 pairs d’éducateurs en vue de sensibiliser près de 5000 éléments des Forces armées de Côte d’Ivoire (FACI) sur le phénomène des violences sexuelles liées aux conflits, annonce une note d’information parvenue à l’AIP .
Organisé en collaboration avec le ministère de la Défense, cet atelier qui se déroulera à l’Etat-major général des armées d’Abidjan-Plateau, intègre le plan d’action triennal du comité national de lutte contre les violences sexuelles (CNLVSC) en situation de conflit validé en août dernier par un pool d’experts en la matière.
Plusieurs thèmes seront traités au cours cette session de formation à savoir les généralités sur les droits de l’homme, les violences basées sur le genre et celles liées aux conflits, le mécanisme conjoint de suivi des cas de violences, des droits de l’homme et les méthodes de sensibilisation.
Les autorités nationales appuyées par le PNUD veulent aboutir à l’élimination et la pression des VSC des forces armées de Côte d’Ivoire. En mai dernier, le pays a obtenu son retrait de la liste des forces armées impliquées dans les cas de violences sexuelles liées aux conflits (VSC), mais cette décision est assortie d’une période d’observation de 12 mois, rappelle-t-on.
(AIP)
bsb/aaa/kam
Organisé en collaboration avec le ministère de la Défense, cet atelier qui se déroulera à l’Etat-major général des armées d’Abidjan-Plateau, intègre le plan d’action triennal du comité national de lutte contre les violences sexuelles (CNLVSC) en situation de conflit validé en août dernier par un pool d’experts en la matière.
Plusieurs thèmes seront traités au cours cette session de formation à savoir les généralités sur les droits de l’homme, les violences basées sur le genre et celles liées aux conflits, le mécanisme conjoint de suivi des cas de violences, des droits de l’homme et les méthodes de sensibilisation.
Les autorités nationales appuyées par le PNUD veulent aboutir à l’élimination et la pression des VSC des forces armées de Côte d’Ivoire. En mai dernier, le pays a obtenu son retrait de la liste des forces armées impliquées dans les cas de violences sexuelles liées aux conflits (VSC), mais cette décision est assortie d’une période d’observation de 12 mois, rappelle-t-on.
(AIP)
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