Un atelier de restitution des résultats sur la migration irrégulière dans la commune d’Anyama s’est tenu le jeudi 7 septembre 2017, dans les locaux de la mairie de ladite commune en présence de son maire Amidou Sylla
Selon la présentation de cet atelier, la question de migration irrégulière est une réalité à laquelle il faut trouver des solutions adéquates. C’est donc dans le but d’apporter son soutien à ce fléau que le Forum des Organisations de la Société Civile d'Afrique de l'Ouest Côte d'Ivoire (Foscao-ci) a mis sur pied un projet de sensibilisation. Il s’agit du projet d’information de sensibilisation des jeunes potentiels migrants sur les dangers de la migration irrégulière et d’appui à la réintégration socioéconomique des migrants de retour. Pour Guittey Laurent, gestionnaire de projet à l’Organisation Internationale de la Migration, cet atelier permettra de connaitre les raisons en vue de diriger les activités portant sur l’éradication de ce fléau. Lanzéni Koné, représentant de la Direction Générale des Ivoiriens de l’Extérieur, a indiqué qu’il ne s’agit pas d’interdire les jeunes à sortir mais de les amener à migrer de façon légale et dans de bonnes conditions. Selon les résultats de ce projet présenté par Rodrigue Fahiraman et Alex N’Goran, dans la commune de Daloa et d’Anyama, 90% des migrés de retour sont âgés de 20 à 40ans, 50% sont sortis d’une école coranique, 80% estiment être mariés avec des enfants, 75% sont des Malinkés et sont 100% musulmans. Selon ces résultats, les raisons sont entre autre la polygamie qui entraine parfois une idée de concurrence entre les enfants de la famille, les pratiques socioculturelles qui donnent centaines responsabilités aux jeunes à un certain âge et bien d’autres. Comme recommandations, il s’est agi de valoriser les métiers du secteur informel, de créer un environnement permettant une égalité des chances sur la base de mérite et aussi utiliser les mêmes outils de communication que les jeunes pour la sensibilisation.
OD avec AS
Selon la présentation de cet atelier, la question de migration irrégulière est une réalité à laquelle il faut trouver des solutions adéquates. C’est donc dans le but d’apporter son soutien à ce fléau que le Forum des Organisations de la Société Civile d'Afrique de l'Ouest Côte d'Ivoire (Foscao-ci) a mis sur pied un projet de sensibilisation. Il s’agit du projet d’information de sensibilisation des jeunes potentiels migrants sur les dangers de la migration irrégulière et d’appui à la réintégration socioéconomique des migrants de retour. Pour Guittey Laurent, gestionnaire de projet à l’Organisation Internationale de la Migration, cet atelier permettra de connaitre les raisons en vue de diriger les activités portant sur l’éradication de ce fléau. Lanzéni Koné, représentant de la Direction Générale des Ivoiriens de l’Extérieur, a indiqué qu’il ne s’agit pas d’interdire les jeunes à sortir mais de les amener à migrer de façon légale et dans de bonnes conditions. Selon les résultats de ce projet présenté par Rodrigue Fahiraman et Alex N’Goran, dans la commune de Daloa et d’Anyama, 90% des migrés de retour sont âgés de 20 à 40ans, 50% sont sortis d’une école coranique, 80% estiment être mariés avec des enfants, 75% sont des Malinkés et sont 100% musulmans. Selon ces résultats, les raisons sont entre autre la polygamie qui entraine parfois une idée de concurrence entre les enfants de la famille, les pratiques socioculturelles qui donnent centaines responsabilités aux jeunes à un certain âge et bien d’autres. Comme recommandations, il s’est agi de valoriser les métiers du secteur informel, de créer un environnement permettant une égalité des chances sur la base de mérite et aussi utiliser les mêmes outils de communication que les jeunes pour la sensibilisation.
OD avec AS
