Grand- Bassam - La municipalité de Grand-Bassam a offert un terrain de trois hectares pour aider à la professionnalisation des déchets solides dans cette localité.
Le maire de cette commune, Georges Philippe Ezaley a estimé vendredi que ce projet est essentiel pour la municipalité, d’où ce don pour marquer son adhésion et son engagement à l’occasion de cette cérémonie de lancement technique de la professionnalisation des déchets solides.
« Nous sommes totalement engagés dans ce projet important qui allie salubrité publique et emplois des jeunes et qui concourent au développement de la ville de Grand- Bassam », a-t-il indiqué.
A sa suite, l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR) a offert deux tricycles. Le coordonnateur national du projet, Sehi Bi Alphonse, s’est réjoui de son avancement. « Désormais nos ordures valent de l’or, car elles seront valorisées en combustibles, en cartons, en plastique ou en matière organique », a-t-il assuré.
Le préfet de Grand Bassam, Amankou Kassi Gabin s’est félicité du lancement de ce projet qui « règle à la fois les problèmes du cadre de vie des populations, l’amélioration de l’environnement et fait gagner de l’argent ».
(AIP)
ko/gak/cmas
Le maire de cette commune, Georges Philippe Ezaley a estimé vendredi que ce projet est essentiel pour la municipalité, d’où ce don pour marquer son adhésion et son engagement à l’occasion de cette cérémonie de lancement technique de la professionnalisation des déchets solides.
« Nous sommes totalement engagés dans ce projet important qui allie salubrité publique et emplois des jeunes et qui concourent au développement de la ville de Grand- Bassam », a-t-il indiqué.
A sa suite, l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR) a offert deux tricycles. Le coordonnateur national du projet, Sehi Bi Alphonse, s’est réjoui de son avancement. « Désormais nos ordures valent de l’or, car elles seront valorisées en combustibles, en cartons, en plastique ou en matière organique », a-t-il assuré.
Le préfet de Grand Bassam, Amankou Kassi Gabin s’est félicité du lancement de ce projet qui « règle à la fois les problèmes du cadre de vie des populations, l’amélioration de l’environnement et fait gagner de l’argent ».
(AIP)
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