Démarré en septembre 2015 sur une superficie de 2hectares dans la commune d’Attecoubé pour un coût global de plus de 5 milliards, les travaux de l’hôpital de la Fondation Servir avancent bien. Pour finir les travaux, la Fondation compte mobiliser environ 3 milliards à travers un diner gala qui aura lieu le samedi 28 octobre 2017. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse le mercredi 4 octobre 2017 sur le site de l’hôpital en construction.
Au cours de cette rencontre qui a été ponctuée d’une visite guidée pour s’enquérir de l’Etat d’avancement des travaux, il est ressorti selon Kakou Parfait, l’architecte, que l’état d’avancement des travaux est estimé à 60%. Mais il a révélé que le retard accusé dans le délai de livraison est dû à la non disponibilité de la totalité des ressources que nécessitent les travaux. « Le projet a démarré en septembre 2015. Il était prévu pour un délai de 16 mois, mais nous n’avons pu l’achever parce que le budget mis à disposition pour le projet était insuffisant. Aujourd’hui, en termes d’avancement, ce qu’il faut retenir, c’est que la fondation a pu mobiliser 3 milliards FCFA. Dont le cout initial était estimé à 5milliards 500 millions. Il reste encore des efforts à faire. Le taux d’avancement global des travaux est de 60%. Nous sommes au stade de finition et il nous reste à réaliser tout ce qui est câblage, terminer les plafonds, terminer la réalisation de cloisons et la clôture. Il y a un volet équipement qui va intervenir juste après la réalisation des travaux. 2 milliards 500 millions de FCFA à rechercher », a-t-il souhaité.
Amoakon Kouakou Banga, président délégué de la fondation Servir a pour sa part traduit les remerciements de Mme Bédié aux différents partenaires pour la matérialisation de ce projet à travers les premiers fonds déjà mobilisés. Il leur a demandé de continuer à faire confiance à la fondation qui est résolument engagée pour la faisabilité de ce rêve. C’est pourquoi, il a invité toutes les bonnes volontés à se mobiliser pour le 13ème diner gala, le dernier pour la mobilisation des fonds pour l’hôpital. « Ce diner gala sera festif et féérique. Cette rencontre sera différente des autres parce que c’est la dernière que nous allons faire pour mobiliser les fonds » a promis Amoakon Kouakou Banga.
Quant au professeur Gnionsahe Daze, il a fait savoir que ce centre médical pour les malades du rein permettra à la Côte d‘Ivoire de maintenir son rang de leader en Afrique francophone dans le traitement des maladies du rein et notamment la transplantation. « Concernant la maladie rénale, je suis l’homme le plus heureux parce que ce centre sera un centre de référence en Afrique francophone. Parce que ce centre va pouvoir prendre en charge les patients avec les deux principales modalités de traitement c’est-à-dire la dialyse et la transplantation. Mais mieux, nous allons pouvoir faire de la formation. La Côte d’Ivoire a été le premier pays francophone au sud du Sahara à réaliser la transplantation rénale. Et nous nous battons pour rester les premiers. Ce centre va permettre à la Côte d’Ivoire de garder son rang de premier dans le domaine de la dialyse, la néphrologie et la transplantation », a-t-il indiqué.
Notons que ce centre comporte également un centre de santé primaire et un service d’imagerie médicale.
Ernest F
Au cours de cette rencontre qui a été ponctuée d’une visite guidée pour s’enquérir de l’Etat d’avancement des travaux, il est ressorti selon Kakou Parfait, l’architecte, que l’état d’avancement des travaux est estimé à 60%. Mais il a révélé que le retard accusé dans le délai de livraison est dû à la non disponibilité de la totalité des ressources que nécessitent les travaux. « Le projet a démarré en septembre 2015. Il était prévu pour un délai de 16 mois, mais nous n’avons pu l’achever parce que le budget mis à disposition pour le projet était insuffisant. Aujourd’hui, en termes d’avancement, ce qu’il faut retenir, c’est que la fondation a pu mobiliser 3 milliards FCFA. Dont le cout initial était estimé à 5milliards 500 millions. Il reste encore des efforts à faire. Le taux d’avancement global des travaux est de 60%. Nous sommes au stade de finition et il nous reste à réaliser tout ce qui est câblage, terminer les plafonds, terminer la réalisation de cloisons et la clôture. Il y a un volet équipement qui va intervenir juste après la réalisation des travaux. 2 milliards 500 millions de FCFA à rechercher », a-t-il souhaité.
Amoakon Kouakou Banga, président délégué de la fondation Servir a pour sa part traduit les remerciements de Mme Bédié aux différents partenaires pour la matérialisation de ce projet à travers les premiers fonds déjà mobilisés. Il leur a demandé de continuer à faire confiance à la fondation qui est résolument engagée pour la faisabilité de ce rêve. C’est pourquoi, il a invité toutes les bonnes volontés à se mobiliser pour le 13ème diner gala, le dernier pour la mobilisation des fonds pour l’hôpital. « Ce diner gala sera festif et féérique. Cette rencontre sera différente des autres parce que c’est la dernière que nous allons faire pour mobiliser les fonds » a promis Amoakon Kouakou Banga.
Quant au professeur Gnionsahe Daze, il a fait savoir que ce centre médical pour les malades du rein permettra à la Côte d‘Ivoire de maintenir son rang de leader en Afrique francophone dans le traitement des maladies du rein et notamment la transplantation. « Concernant la maladie rénale, je suis l’homme le plus heureux parce que ce centre sera un centre de référence en Afrique francophone. Parce que ce centre va pouvoir prendre en charge les patients avec les deux principales modalités de traitement c’est-à-dire la dialyse et la transplantation. Mais mieux, nous allons pouvoir faire de la formation. La Côte d’Ivoire a été le premier pays francophone au sud du Sahara à réaliser la transplantation rénale. Et nous nous battons pour rester les premiers. Ce centre va permettre à la Côte d’Ivoire de garder son rang de premier dans le domaine de la dialyse, la néphrologie et la transplantation », a-t-il indiqué.
Notons que ce centre comporte également un centre de santé primaire et un service d’imagerie médicale.
Ernest F