Abidajn - La 2ème édition d’Africa Cyber Security Conference (ACSC) a ouvert ses portes mardi à Abidjan, avec plusieurs activités notamment des panels, le « BABI Hacking Challenge », un concours à l’intention des jeunes hackers ivoiriens.
Le représentant du ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, Miezan Yves s’est réjoui de cette initiative qui va permettre d’identifier des talents en matière de cyber sécurité. « C’est de la pertinence, c’est de l’entrain sur un sujet qui nous touche tous à savoir la cyber sécurité. Cela va permettre l’identification de talents. Il y a beaucoup de talents en Afrique », a indiqué M. Miézan.
Pour lui, il appartient à chaque espace, dans un monde connecté, « de tenter la sécurisation et de mettre en œuvre les voies et moyens pour un environnement fiable, pertinent, favorable au développement de l’économie numérique ».
« Africa Cyber Security Conference permet de faire l’état des lieux sur les avancées technologiques, les enjeux économique et sociaux, ainsi que les défis dans le domaine de la sécurité et de la préservation des données, tant au niveau privé que public. Il permet aux citoyens de mieux comprendre les enjeux liés à la cybercriminalité », a indiqué pour sa part le président du comité d’organisation, Mack Coulibaly.
« Pour soutenir la transformation numérique et le développement de nouveaux usages, un renforcement de la sécurité numérique est indispensable », a-t-il ajouté.
Des directeurs d’entreprises, des experts, des étudiants prennent part à l’ACSC qui va durer trois jours. Il est prévu différentes conférences autour de plusieurs thèmes dont "Relever les défis de la cyber sécurité en Afrique" et "Comment l’Afrique peut devenir le nouvel eldorado de la cyber sécurité ?".
ena/cmas
Le représentant du ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, Miezan Yves s’est réjoui de cette initiative qui va permettre d’identifier des talents en matière de cyber sécurité. « C’est de la pertinence, c’est de l’entrain sur un sujet qui nous touche tous à savoir la cyber sécurité. Cela va permettre l’identification de talents. Il y a beaucoup de talents en Afrique », a indiqué M. Miézan.
Pour lui, il appartient à chaque espace, dans un monde connecté, « de tenter la sécurisation et de mettre en œuvre les voies et moyens pour un environnement fiable, pertinent, favorable au développement de l’économie numérique ».
« Africa Cyber Security Conference permet de faire l’état des lieux sur les avancées technologiques, les enjeux économique et sociaux, ainsi que les défis dans le domaine de la sécurité et de la préservation des données, tant au niveau privé que public. Il permet aux citoyens de mieux comprendre les enjeux liés à la cybercriminalité », a indiqué pour sa part le président du comité d’organisation, Mack Coulibaly.
« Pour soutenir la transformation numérique et le développement de nouveaux usages, un renforcement de la sécurité numérique est indispensable », a-t-il ajouté.
Des directeurs d’entreprises, des experts, des étudiants prennent part à l’ACSC qui va durer trois jours. Il est prévu différentes conférences autour de plusieurs thèmes dont "Relever les défis de la cyber sécurité en Afrique" et "Comment l’Afrique peut devenir le nouvel eldorado de la cyber sécurité ?".
ena/cmas