Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le continent africain se trouve en bonne position pour utiliser la cybersécurité, a déclaré Mme Katherine Brucker, Chargé d’Affaires à l’ambassade des Etats-Unis, mardi, à l’ouverture de la deuxième édition d’Africa Cyber Security Conference (ACSC).
Selon la diplomate américaine dont la chancellerie est associée à l’évènement, ‘’la banque numérique a eu un impact positif en plusieurs endroits en permettant des dépôts directs introduisant au système électronique’’ soulignant qu’à mesure que les ‘’Africains gèrent leur argent par voie électronique, la cybersécurité s’avère indispensable’’.
‘’L’Afrique se trouve ainsi en bonne position pour utiliser l’économie numérique et la cybersécurité afin de se lancer dans une nouvelle ère de croissance’’, a dit Katherine Brucker, indiquant que le gouvernement de son pays est ‘’disposé à accompagner le continent dans cette voie’’.
Cependant, elle a prévenu que ‘’le gouvernement des Etats-Unis prône un internet ouvert, fiable et sécurisé qui favorise l’efficacité, l’innovation, la communication et la prospérité économique, (…) qui respecte la vie privée, protège contre le désordre, la fraude et le vol’’, a insisté Mme Brucker.
Auparavant, la conférence inaugurale de l’ACSC autour du thème ‘’Transformation digitale en Afrique enjeux et opportunités", a permis à des experts de faire l’état des lieux sur les avancées technologiques, les enjeux économiques et sociaux liés à ces avancées ainsi que les défis dans le domaine de la sécurité et de la préservation des données tant au niveau privé que public.
Pour Patrick M’bengue, Directeur général d’INNOVA, "les entreprises ivoiriennes ont un faible niveau de maturité digitale et une faible imprégnation des processus digitaux dans leur économie générale’’.
Quand Philipe Cahez, directeur général de Gfi informatique, a souligné que ‘’les gouvernements sont les mieux placés pour offrir aux citoyens le processus de digitalisation car la jeunesse africaine est un levier de la transformation digitale et de l’innovation".
Outre les 1000 rencontres B to B, les participants prendront part, également, à plusieurs panels thématiques dont ‘’ l’Etat de la cyber sécurité en Afrique dans un monde numérique’’, comment relever les défis de la cyber sécurité en Afrique ?’’, ainsi que ‘’l’impact et l’opportunité économique de la cybersécurité’’… animés par 86 conférenciers de haut niveau.
HS/ls
Selon la diplomate américaine dont la chancellerie est associée à l’évènement, ‘’la banque numérique a eu un impact positif en plusieurs endroits en permettant des dépôts directs introduisant au système électronique’’ soulignant qu’à mesure que les ‘’Africains gèrent leur argent par voie électronique, la cybersécurité s’avère indispensable’’.
‘’L’Afrique se trouve ainsi en bonne position pour utiliser l’économie numérique et la cybersécurité afin de se lancer dans une nouvelle ère de croissance’’, a dit Katherine Brucker, indiquant que le gouvernement de son pays est ‘’disposé à accompagner le continent dans cette voie’’.
Cependant, elle a prévenu que ‘’le gouvernement des Etats-Unis prône un internet ouvert, fiable et sécurisé qui favorise l’efficacité, l’innovation, la communication et la prospérité économique, (…) qui respecte la vie privée, protège contre le désordre, la fraude et le vol’’, a insisté Mme Brucker.
Auparavant, la conférence inaugurale de l’ACSC autour du thème ‘’Transformation digitale en Afrique enjeux et opportunités", a permis à des experts de faire l’état des lieux sur les avancées technologiques, les enjeux économiques et sociaux liés à ces avancées ainsi que les défis dans le domaine de la sécurité et de la préservation des données tant au niveau privé que public.
Pour Patrick M’bengue, Directeur général d’INNOVA, "les entreprises ivoiriennes ont un faible niveau de maturité digitale et une faible imprégnation des processus digitaux dans leur économie générale’’.
Quand Philipe Cahez, directeur général de Gfi informatique, a souligné que ‘’les gouvernements sont les mieux placés pour offrir aux citoyens le processus de digitalisation car la jeunesse africaine est un levier de la transformation digitale et de l’innovation".
Outre les 1000 rencontres B to B, les participants prendront part, également, à plusieurs panels thématiques dont ‘’ l’Etat de la cyber sécurité en Afrique dans un monde numérique’’, comment relever les défis de la cyber sécurité en Afrique ?’’, ainsi que ‘’l’impact et l’opportunité économique de la cybersécurité’’… animés par 86 conférenciers de haut niveau.
HS/ls