Abidjan - Le directeur pays de l'organisation non gouvernementale (ONG) ‘Save the Children, Famari Barro’ a plaidé mercredi, pour l’instauration d’un environnement scolaire sécurisé pour les jeunes filles, afin de réduire le nombre de grossesse en milieu scolaire.
Selon M. Barro qui s’exprimait lors du lancement de la campagne nationale dénommée "Education: un droit aussi pour toutes les filles", les efforts d’éducation de la jeune fille sont sapés par la problématique de grossesses en milieu scolaire. Pour pallier cette situation, a-t-il proposé, il faut une action concertée de toutes les parties, notamment au niveau du gouvernement, des écoles, des élèves eux-mêmes, de la communauté, des parents et des enseignants.
Il a aussi souhaité la création de structure d’accueil pour les filles orientées dans des établissements éloignés de leur résidence, le renforcement de l’éducation sexuelle dans les écoles, l’institution d’une "communication ouverte" entre parents et enfants le plus tôt possible, la disponibilité et l’accessibilité des moyens de contraception.
Pour l’ambassadrice de cette campagne, Mariam Dao Gabala, les grossesses en milieu scolaire fragilisent la vie des jeunes filles. Elle a ainsi attiré l’attention des enseignants qui, à travers un code de conduite des personnels des structures publiques et privées relevant du ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, doivent veiller au respect des droits de la jeune fille.
En 2016, plus de 4.000 cas de grossesse, soit 13 grossesses par jour, ont été enregistrés en milieu scolaire, a relevé Mme Gabala.
Tad/kp
Selon M. Barro qui s’exprimait lors du lancement de la campagne nationale dénommée "Education: un droit aussi pour toutes les filles", les efforts d’éducation de la jeune fille sont sapés par la problématique de grossesses en milieu scolaire. Pour pallier cette situation, a-t-il proposé, il faut une action concertée de toutes les parties, notamment au niveau du gouvernement, des écoles, des élèves eux-mêmes, de la communauté, des parents et des enseignants.
Il a aussi souhaité la création de structure d’accueil pour les filles orientées dans des établissements éloignés de leur résidence, le renforcement de l’éducation sexuelle dans les écoles, l’institution d’une "communication ouverte" entre parents et enfants le plus tôt possible, la disponibilité et l’accessibilité des moyens de contraception.
Pour l’ambassadrice de cette campagne, Mariam Dao Gabala, les grossesses en milieu scolaire fragilisent la vie des jeunes filles. Elle a ainsi attiré l’attention des enseignants qui, à travers un code de conduite des personnels des structures publiques et privées relevant du ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, doivent veiller au respect des droits de la jeune fille.
En 2016, plus de 4.000 cas de grossesse, soit 13 grossesses par jour, ont été enregistrés en milieu scolaire, a relevé Mme Gabala.
Tad/kp