Abidjan - Le président de l’ONG UNICO, Nicolas Vako a, au cours d’une conférence de presse qu’il a animée jeudi, à Abidjan Cocody Deux-Plateaux, lancé un cri de cœur en faveur des LGBT (Lesbienne, gay, bisexuel, transsexuel) afin qu’elles puissent jouir comme toutes les autres personnes à leur droit à la santé.
Partant du constat selon lequel, la marginalisation de ces populations cibles par la société fait grimper le taux de prévalence du VIH SIDA à environ 39 % contre 3,7% de manière générale, Nicolas Vako a expliqué que, ces populations, isolées, rejetés, lapidées, souvent exclues de leur domicile sont dans l’obligation de se livrer à la profession du sexe qui augmente de manière considérable les risques de contamination au VIH SIDA.
Il a déploré l’attitude du personnel soignant qui n’est pas formé ou même qui n’accepte pas de prodiguer des soins aux LGBT ou aux UD (Usagers de drogue).
« On ne devient pas homosexuel, on nait homosexuel, « témoigne celui qu’on appelle Grand-mère dans le milieu, président de l’ONG anonyme qui estime que tant que la marginalisation persistera, le taux de prévalence du SIDA chez ASH (homme ayant sexe avec des hommes ) sera de plus en plus élevé.
S’appuyant sur des vidéos dans lesquelles plusieurs victimes ont témoigné de leur marginalisation, M. Vako a lancé un appel afin que le regard sur ces populations cible change. Il a annoncé pour bientôt, une grande conférence internationale africaine sur la lutte contre le SIDA et la sortie, le premier décembre d’un bulletin de liaison.
akn/fmo
Partant du constat selon lequel, la marginalisation de ces populations cibles par la société fait grimper le taux de prévalence du VIH SIDA à environ 39 % contre 3,7% de manière générale, Nicolas Vako a expliqué que, ces populations, isolées, rejetés, lapidées, souvent exclues de leur domicile sont dans l’obligation de se livrer à la profession du sexe qui augmente de manière considérable les risques de contamination au VIH SIDA.
Il a déploré l’attitude du personnel soignant qui n’est pas formé ou même qui n’accepte pas de prodiguer des soins aux LGBT ou aux UD (Usagers de drogue).
« On ne devient pas homosexuel, on nait homosexuel, « témoigne celui qu’on appelle Grand-mère dans le milieu, président de l’ONG anonyme qui estime que tant que la marginalisation persistera, le taux de prévalence du SIDA chez ASH (homme ayant sexe avec des hommes ) sera de plus en plus élevé.
S’appuyant sur des vidéos dans lesquelles plusieurs victimes ont témoigné de leur marginalisation, M. Vako a lancé un appel afin que le regard sur ces populations cible change. Il a annoncé pour bientôt, une grande conférence internationale africaine sur la lutte contre le SIDA et la sortie, le premier décembre d’un bulletin de liaison.
akn/fmo