La Représentante résidente du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP ou UNFPA en anglais) en Côte d’Ivoire, Argentina Matavel Piccin a invité jeudi, à Abidjan, les familles africaines à ‘’rompre le tabou du sujet lié à la sexualité’’.
Pour Argentina Matavel Piccin qui s’est exprimée en marge d’une session lors de la 19è Conférence internationale sur le Sida et les Ist en Afrique (ICASA 2017), ‘’on doit donner accès à l’information pour que cette éducation’’, instant qu’elle ‘’doit être compréhensible, appropriée aux différents âges’’.
L’information est importante pour qu’ils (enfants) ‘’puissent se protéger, comprendre leur corps’’, à l’en croire. Poursuivant, elle a dénoncé ‘’trop de préjugés sur l’apprentissage de la sexualité aux adolescents et jeunes’’.
La Représentante de l’UNFPA engage les familles à adapter leurs traditions aux réalités actuelles. ‘’Dans les traditions, il y’a des choses positives. Les traditions sont faites par des hommes. On doit adapter nos croyances, aux réalités d’aujourd’hui’’, a souligné Argentina Matavel Piccin.
‘’Si je ne parle pas à ma fille de la sexualité, elle le découvrira par la télé, sur internet’’, a-t-elle conclu.
Cette conférence internationale sur le Vih/Sida se poursuit à Abidjan jusqu’au samedi. Plusieurs experts de la question, des organisations internationales dont l’UNFPA et ONG y participent.
SY/ls/APA
Pour Argentina Matavel Piccin qui s’est exprimée en marge d’une session lors de la 19è Conférence internationale sur le Sida et les Ist en Afrique (ICASA 2017), ‘’on doit donner accès à l’information pour que cette éducation’’, instant qu’elle ‘’doit être compréhensible, appropriée aux différents âges’’.
L’information est importante pour qu’ils (enfants) ‘’puissent se protéger, comprendre leur corps’’, à l’en croire. Poursuivant, elle a dénoncé ‘’trop de préjugés sur l’apprentissage de la sexualité aux adolescents et jeunes’’.
La Représentante de l’UNFPA engage les familles à adapter leurs traditions aux réalités actuelles. ‘’Dans les traditions, il y’a des choses positives. Les traditions sont faites par des hommes. On doit adapter nos croyances, aux réalités d’aujourd’hui’’, a souligné Argentina Matavel Piccin.
‘’Si je ne parle pas à ma fille de la sexualité, elle le découvrira par la télé, sur internet’’, a-t-elle conclu.
Cette conférence internationale sur le Vih/Sida se poursuit à Abidjan jusqu’au samedi. Plusieurs experts de la question, des organisations internationales dont l’UNFPA et ONG y participent.
SY/ls/APA