Le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, a présenté un bilan des activités de surveillance des marchés. 100 missions soit 10 par mois ont été ainsi initiées sur l’ensemble du territoire national. Ce sont donc des données représentatives des tendances du marché national qui ont été présentées au Président de la République, SEM Alassane Ouattara et aux membres du gouvernement.
« Ces activités consistent principalement à initier des missions de contact et de contrôle sur les marchés et tout lieu de vente de produits destinés à la consommation humaine afin de s’assurer de la qualité des produits proposés, de la conformité de la présentation desdits produits, du respect des règles de loyauté dans les transactions commerciales » a indiqué Souleymane Diarrassouba
Dans la pratique, ces opérations de terrain s’articulent autour de « l’affichage des prix en vue d’informer les consommateurs, d’une part, et pour apprécier les niveaux de variation des prix, d’autre part ; l’emballage et l’étiquetage des produits pour en connaître l’origine, la composition, les caractéristiques de conservation, de péremption, etc., conformément aux règles d’étiquetage ; les instruments de mesure utilisés de sorte à s’assurer que le poids ou / le volume débité est exact afin de garantir la transparence et la loyauté de la transaction ; les conditions d’exposition des produits. »
Il ressort de cette enquête terrain que les marchés ivoiriens sont « suffisamment approvisionnés », en produits vivriers, féculents, fruits, des produits frais, de la volaille, des produits laitiers et des matériaux de construction. Autre constat, la tendance baissière des prix pratiqués par les commerçants. Il a été également relevé sur les marchés la persistance de produits dégradés et de contrefaçon proposés à la consommation. 303,313 tonnes de produits prohibés ou périmés, d’une valeur totale de trois cent vingt-cinq millions quatre cent trente-sept mille trois cent cinq (325 437 305) francs CFA ont été saisis par les services de contrôle. Ces produits ont été détruits par broyage et incinération sur les décharges d’ordures. On n’y trouve, notamment, les boîtes de conserve et les biscuits (152,39 T), les cartons de glutamates mono sodiques-cubes (70 T), les bidons d’huile (31,37 T) et les sacs de sucre (24,1 T). Les instruments de mesure utilisés dans les transactions avec le consommateur final sont de plus en plus conformes aux normes. En effet, sur 138 247 instruments de mesure contrôlés sur la période, contre 108 932 en 2016, soit un taux de progression de 26,91%, 137 939 ont été jugés conformes contre 108 742 en 2016, et 308 jugés non conformes, contre 190 en 2016, appelés à être réparés ou ajustés.
Les villes de Yamoussoukro, Abengourou, Gagnoa, Man, Sinfra, Bouaflé, Bouaké ne disposent plus de marchés, détruits par des incendies, tel est le constat effectué et qu’il convient d’y remédier au même titre que le renforcement en ressources humaines et moyens logistiques.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba a plaidé pour le renforcement de l’effectif de la Brigade dédiée au contrôle et à la répression et disposer d’un magasin de stockage et un camion de transport des produits saisis. Il a demandé la validation d’un plan d’ouverture de sept (7) nouvelles Directions Régionales, de renforcer les capacités opérationnelles des services dédiés au contrôle, de renforcer les capacités de la Brigade de répression et d’autoriser, avec la mise en place du programme de vérification des produits embarqués en direction de la Côte d’Ivoire (VOC), le déploiement des agents du Ministère aux postes frontières, notamment aux cordons douaniers. « Cette présence permettra, entre autres, d’opérer les saisies de produits d’origine et de qualité douteuses dès les postes frontières, et de renforcer ainsi la lutte contre la pénétration des marchés par les produits de contrebande. Cela contribuera à réduire l’influence des contrebandiers sur les marchés et impacterait positivement la qualité des produits proposés aux consommateurs » a assuré le Ministre Souleymane Diarrassouba.
« Ces activités consistent principalement à initier des missions de contact et de contrôle sur les marchés et tout lieu de vente de produits destinés à la consommation humaine afin de s’assurer de la qualité des produits proposés, de la conformité de la présentation desdits produits, du respect des règles de loyauté dans les transactions commerciales » a indiqué Souleymane Diarrassouba
Dans la pratique, ces opérations de terrain s’articulent autour de « l’affichage des prix en vue d’informer les consommateurs, d’une part, et pour apprécier les niveaux de variation des prix, d’autre part ; l’emballage et l’étiquetage des produits pour en connaître l’origine, la composition, les caractéristiques de conservation, de péremption, etc., conformément aux règles d’étiquetage ; les instruments de mesure utilisés de sorte à s’assurer que le poids ou / le volume débité est exact afin de garantir la transparence et la loyauté de la transaction ; les conditions d’exposition des produits. »
Il ressort de cette enquête terrain que les marchés ivoiriens sont « suffisamment approvisionnés », en produits vivriers, féculents, fruits, des produits frais, de la volaille, des produits laitiers et des matériaux de construction. Autre constat, la tendance baissière des prix pratiqués par les commerçants. Il a été également relevé sur les marchés la persistance de produits dégradés et de contrefaçon proposés à la consommation. 303,313 tonnes de produits prohibés ou périmés, d’une valeur totale de trois cent vingt-cinq millions quatre cent trente-sept mille trois cent cinq (325 437 305) francs CFA ont été saisis par les services de contrôle. Ces produits ont été détruits par broyage et incinération sur les décharges d’ordures. On n’y trouve, notamment, les boîtes de conserve et les biscuits (152,39 T), les cartons de glutamates mono sodiques-cubes (70 T), les bidons d’huile (31,37 T) et les sacs de sucre (24,1 T). Les instruments de mesure utilisés dans les transactions avec le consommateur final sont de plus en plus conformes aux normes. En effet, sur 138 247 instruments de mesure contrôlés sur la période, contre 108 932 en 2016, soit un taux de progression de 26,91%, 137 939 ont été jugés conformes contre 108 742 en 2016, et 308 jugés non conformes, contre 190 en 2016, appelés à être réparés ou ajustés.
Les villes de Yamoussoukro, Abengourou, Gagnoa, Man, Sinfra, Bouaflé, Bouaké ne disposent plus de marchés, détruits par des incendies, tel est le constat effectué et qu’il convient d’y remédier au même titre que le renforcement en ressources humaines et moyens logistiques.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba a plaidé pour le renforcement de l’effectif de la Brigade dédiée au contrôle et à la répression et disposer d’un magasin de stockage et un camion de transport des produits saisis. Il a demandé la validation d’un plan d’ouverture de sept (7) nouvelles Directions Régionales, de renforcer les capacités opérationnelles des services dédiés au contrôle, de renforcer les capacités de la Brigade de répression et d’autoriser, avec la mise en place du programme de vérification des produits embarqués en direction de la Côte d’Ivoire (VOC), le déploiement des agents du Ministère aux postes frontières, notamment aux cordons douaniers. « Cette présence permettra, entre autres, d’opérer les saisies de produits d’origine et de qualité douteuses dès les postes frontières, et de renforcer ainsi la lutte contre la pénétration des marchés par les produits de contrebande. Cela contribuera à réduire l’influence des contrebandiers sur les marchés et impacterait positivement la qualité des produits proposés aux consommateurs » a assuré le Ministre Souleymane Diarrassouba.