Le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba a lancé lundi, un appel d’offres pour le projet de construction d’un indicateur de la vie chère en Côte d’Ivoire.
Sept opérateurs sont en lice pour ce projet à savoir, la Cellule d’analyse des politiques économiques du Cires (CAPES), Bloomfield, l’Institut national de la statistique (INS), le Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), l’Institut d’Ethno-Sociologie) de l’université de Cocody et de l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (ENSEA) d’Abidjan et le Centre ivoirien de recherches économiques et sociales (CIRES).
Chaque postulant devra faire des propositions d’offres ainsi qu’un calendreier de travail précis au Gouvernement.
Le ministre Souleymane Diarrassouba a précisé que le dépouillement, l’évaluation des offres et la proclamation des résultats aura lieu d’ici la fin du mois de mars. Cette étape sera suivie de la livraison de la première mouture de l’indice au Gouvernement pour observation en fin juin, d’un atelier de restitution de l’intégration des observations entre juillet et août et la livraison de la première mouture définitive de l’indice en septembre au Gouvernement.
Selon le ministre, cet indice constituera un outil stratégique de mise en œuvre de la politique du Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la vie chère et permettra, en outre, l’adoption de mesures d’ajustement efficaces en cas de pression sur le pouvoir d’achat des populations et d’en évaluer la portée ainsi que l’impact sur te terrain.
«L’indice sera en définitive un indicateur pertinent pour l’évaluation de l’action gouvernementale en matière de croissance inclusive et de redistribution réelle de la richesse créée », a expliqué le ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, le projet de construction d’un indicateur de la vie chère est motivé par la volonté du Gouvernement de mieux appréhender le phénomène de la vie chère tel qu’il est compris et tel qu’il est vécu par les populations ivoiriennes afin d’orienter avec précision les programmes, plans et politiques publiques de lutte contre la vie chère.
«L’indice pourra être décliné (à travers des sous-indices) aussi bien par catégorie de biens (biens alimentaires, biens non alimentaires…) que par classe sociale (pauvre, classe moyenne…) », a détaillé le ministre.
Ce projet, qui est piloté par le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME à travers le Conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC), bénéficie du partenariat du Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES), indique-t-on.
bsp/fmo
Sept opérateurs sont en lice pour ce projet à savoir, la Cellule d’analyse des politiques économiques du Cires (CAPES), Bloomfield, l’Institut national de la statistique (INS), le Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), l’Institut d’Ethno-Sociologie) de l’université de Cocody et de l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (ENSEA) d’Abidjan et le Centre ivoirien de recherches économiques et sociales (CIRES).
Chaque postulant devra faire des propositions d’offres ainsi qu’un calendreier de travail précis au Gouvernement.
Le ministre Souleymane Diarrassouba a précisé que le dépouillement, l’évaluation des offres et la proclamation des résultats aura lieu d’ici la fin du mois de mars. Cette étape sera suivie de la livraison de la première mouture de l’indice au Gouvernement pour observation en fin juin, d’un atelier de restitution de l’intégration des observations entre juillet et août et la livraison de la première mouture définitive de l’indice en septembre au Gouvernement.
Selon le ministre, cet indice constituera un outil stratégique de mise en œuvre de la politique du Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la vie chère et permettra, en outre, l’adoption de mesures d’ajustement efficaces en cas de pression sur le pouvoir d’achat des populations et d’en évaluer la portée ainsi que l’impact sur te terrain.
«L’indice sera en définitive un indicateur pertinent pour l’évaluation de l’action gouvernementale en matière de croissance inclusive et de redistribution réelle de la richesse créée », a expliqué le ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, le projet de construction d’un indicateur de la vie chère est motivé par la volonté du Gouvernement de mieux appréhender le phénomène de la vie chère tel qu’il est compris et tel qu’il est vécu par les populations ivoiriennes afin d’orienter avec précision les programmes, plans et politiques publiques de lutte contre la vie chère.
«L’indice pourra être décliné (à travers des sous-indices) aussi bien par catégorie de biens (biens alimentaires, biens non alimentaires…) que par classe sociale (pauvre, classe moyenne…) », a détaillé le ministre.
Ce projet, qui est piloté par le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME à travers le Conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC), bénéficie du partenariat du Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES), indique-t-on.
bsp/fmo