Trois migrants sur quatre avaient un revenu et un emploi avant d’aller à l’aventure.
Ce n’est pas le chômage qui pousse des Ivoiriens à la migration. Les chiffres le disent. « 70% des migrants ivoiriens avaient un emploi rémunéré qui leur rapportait un revenu de 100.000 FCfa par mois en moyenne », a révélé le lundi 19 février, Marina Schrann, chef de mission de l’Organisation internationale pour la migration (Oim). Et la moitié des migrants, une fois rentrés, ont souhaité retrouver leurs anciens boulots.
Face à la presse, à l’hôtel Palm Club de Cocody, Marina Schrann ; le directeur des Ivoiriens de l’extérieur, Issiaka Konaté et la déléguée de l’Union européenne, Marie Molinie ont dressé « le profil » du migrant. Ils ont expliqué pourquoi... suite de l'article sur Fraternité Matin
Ce n’est pas le chômage qui pousse des Ivoiriens à la migration. Les chiffres le disent. « 70% des migrants ivoiriens avaient un emploi rémunéré qui leur rapportait un revenu de 100.000 FCfa par mois en moyenne », a révélé le lundi 19 février, Marina Schrann, chef de mission de l’Organisation internationale pour la migration (Oim). Et la moitié des migrants, une fois rentrés, ont souhaité retrouver leurs anciens boulots.
Face à la presse, à l’hôtel Palm Club de Cocody, Marina Schrann ; le directeur des Ivoiriens de l’extérieur, Issiaka Konaté et la déléguée de l’Union européenne, Marie Molinie ont dressé « le profil » du migrant. Ils ont expliqué pourquoi... suite de l'article sur Fraternité Matin