Un total de 1.566 migrants ivoiriens ont été rapatriés en moins de dix mois, entre mai 2017 et février 2018, grâce à une collaboration entre le gouvernement ivoirien et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
"De mai à février, nous avons accueilli 1.566 migrants ivoiriens", a indiqué la responsable de mission de l’OIM, Marina Schramm, lors d’une conférence de presse lundi à Abidjan.
Le gouvernement ivoirien estime à 7.503 le nombre de migrants en détresse recensés qui attendent d’être rapatriés.
Selon Mme Schramm, parmi les Ivoiriens rapatriés, près de 1.000 personnes sont rentrées de Libye, plus de 300 du Niger, près de 200 du Maroc, et une cinquantaine de Mauritanie.
"Parmi eux, nous dénombrons 317 femmes, 1.114 hommes et 135 mineurs", a-t-elle précisé.
Tous ont bénéficié à leur arrivée d’un pécule en espèce pour couvrir les premiers besoins, d’un appui médical et psychologique individualisé, d’un hébergement d’urgence et de frais de transport secondaires.
Mme Schramm a annoncé un projet de 2,7 millions d’euros pour la Côte d’Ivoire en vue d’assurer la protection et la réintégration "d’une manière réfléchie et durable plutôt que rapide et éphémère" des migrants ivoiriens sur une période de trois ans.
"Les formations et les initiatives collectives sur une base communautaire sont favorisées, il s’agit d’appuyer les projets et mécanismes de formation et de création d’emploi des jeunes", a-t-elle souligné.
Le gouvernement ivoirien a décidé d’intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, notamment à Daloa (centre-ouest, 400 km d’Abidjan).
"De mai à février, nous avons accueilli 1.566 migrants ivoiriens", a indiqué la responsable de mission de l’OIM, Marina Schramm, lors d’une conférence de presse lundi à Abidjan.
Le gouvernement ivoirien estime à 7.503 le nombre de migrants en détresse recensés qui attendent d’être rapatriés.
Selon Mme Schramm, parmi les Ivoiriens rapatriés, près de 1.000 personnes sont rentrées de Libye, plus de 300 du Niger, près de 200 du Maroc, et une cinquantaine de Mauritanie.
"Parmi eux, nous dénombrons 317 femmes, 1.114 hommes et 135 mineurs", a-t-elle précisé.
Tous ont bénéficié à leur arrivée d’un pécule en espèce pour couvrir les premiers besoins, d’un appui médical et psychologique individualisé, d’un hébergement d’urgence et de frais de transport secondaires.
Mme Schramm a annoncé un projet de 2,7 millions d’euros pour la Côte d’Ivoire en vue d’assurer la protection et la réintégration "d’une manière réfléchie et durable plutôt que rapide et éphémère" des migrants ivoiriens sur une période de trois ans.
"Les formations et les initiatives collectives sur une base communautaire sont favorisées, il s’agit d’appuyer les projets et mécanismes de formation et de création d’emploi des jeunes", a-t-elle souligné.
Le gouvernement ivoirien a décidé d’intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, notamment à Daloa (centre-ouest, 400 km d’Abidjan).