Agboville – L’implantation d’un pylône d’une société de téléphonie mobile au quartier résidentiel Saint-Georges d’Agboville est actuellement l’objet d’un conflit entre des riverains qui s’opposent à la réalisation du projet et l’entreprise qui voudrait construire dans une cour d’habitation, un pylône de 50 m de haut pour mieux couvrir la région en matière de communication, notamment de connexion internet.
Les opposants au projet dont Jackson Mian Assanvo, voisin immédiat du site, évoquent des problèmes de santé ainsi que la dangerosité que présenterait le pylône du fait de sa proximité avec les habitations.
Par contre, les responsables de la société de téléphonie demandeur et le technicien chargé des travaux, Gouamené Williams, affirment avoir choisi ce site parce que c’est là qu’il y a un bon signal pour émettre et couvrir toute la région. "Nulle part au monde, nous n’avons appris que l’implantation d’une antenne téléphonique donne des maladies", ont-ils précisé.
"Nous en avons pour preuve l’installation de plusieurs antennes de ce type dans la ville d’Agboville et même une antenne d’une compagnie concurrente a déjà fière allure dans le même quartier Saint Georges et à moins de 20 m de la nôtre dont l’implantation est décriée", ont-ils ajouté.
L’affaire qui court depuis fin août 2017, avec moult tractations dirigées sans succès par les autorités municipales et préfectorales, est à présent entre les mains de la justice, appelée à trancher entre la trentaine de pétitionnaires protestataires et le propriétaire du site avec la société de téléphonie, demandeur des travaux.
L’AIP ayant reçu mardi, une copie de l’assignation en référé aux fins d’arrêt des travaux, donné au sieur Akoué Bedé Parfait, propriétaire du site choisi pour l’implantation du pylône, a appris, par ailleurs, que les parties au conflit ont comparu déjà une première fois devant le juge de référé le 13 février.
Mais qu’elles attendent le délibéré pour le 27 février, à savoir la décision finale du juge qui devrait mettre tout le monde d’accord, quant aux droits et devoirs des uns et des autres dans cette affaire qui perdure.
(AIP)
Les opposants au projet dont Jackson Mian Assanvo, voisin immédiat du site, évoquent des problèmes de santé ainsi que la dangerosité que présenterait le pylône du fait de sa proximité avec les habitations.
Par contre, les responsables de la société de téléphonie demandeur et le technicien chargé des travaux, Gouamené Williams, affirment avoir choisi ce site parce que c’est là qu’il y a un bon signal pour émettre et couvrir toute la région. "Nulle part au monde, nous n’avons appris que l’implantation d’une antenne téléphonique donne des maladies", ont-ils précisé.
"Nous en avons pour preuve l’installation de plusieurs antennes de ce type dans la ville d’Agboville et même une antenne d’une compagnie concurrente a déjà fière allure dans le même quartier Saint Georges et à moins de 20 m de la nôtre dont l’implantation est décriée", ont-ils ajouté.
L’affaire qui court depuis fin août 2017, avec moult tractations dirigées sans succès par les autorités municipales et préfectorales, est à présent entre les mains de la justice, appelée à trancher entre la trentaine de pétitionnaires protestataires et le propriétaire du site avec la société de téléphonie, demandeur des travaux.
L’AIP ayant reçu mardi, une copie de l’assignation en référé aux fins d’arrêt des travaux, donné au sieur Akoué Bedé Parfait, propriétaire du site choisi pour l’implantation du pylône, a appris, par ailleurs, que les parties au conflit ont comparu déjà une première fois devant le juge de référé le 13 février.
Mais qu’elles attendent le délibéré pour le 27 février, à savoir la décision finale du juge qui devrait mettre tout le monde d’accord, quant aux droits et devoirs des uns et des autres dans cette affaire qui perdure.
(AIP)