Gagnoa - Un atelier d’évaluation de l’impact du changement climatique et la sécurité alimentaire via le projet de l’agriculture intelligente dans la filière riz s’ouvre mardi à Gagnoa et réunira durant deux jours une trentaine d’experts.
A l’initiative de l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), il s’agira de lancer officiellement l’encadrement des paysans et des initiatives locales de production rizicole et de bioénergie, de faire le point des activités du projet mises en œuvre en 2017, d’identifier les difficultés et contraintes liées à la mise en œuvre du projet et de fixer les perspectives d’activités pour l’année 2018, précise un communiqué dont l’AIP a reçu copie.
Une étude récente de vulnérabilité a montré que les secteurs de l’agriculture, de l’utilisation des terres, des forêts, des ressources en eau et de l’énergie font partie des secteurs les plus durement touchés par les changements climatiques.
Les effets observés sont la hausse des températures, la forte insolation, la baisse des précipitations, les perturbations des saisons et la recrudescence des catastrophes naturelles de forte intensité (inondation ou assèchement des plantations).
On estime que ces changements climatiques feront gonfler les rangs des affamés de 49 millions de personnes supplémentaires d’ici 2020 au niveau mondial.
D’ailleurs, selon le communiqué, la Côte d’Ivoire, pays agricole, "n’est pas en reste".
Un projet de mise en œuvre d’une agriculture intelligente a débuté le 10 juin 2016, pour faire face à ces changements climatiques et à l’insécurité alimentaire, signale-t-on.
Dd/kp
A l’initiative de l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), il s’agira de lancer officiellement l’encadrement des paysans et des initiatives locales de production rizicole et de bioénergie, de faire le point des activités du projet mises en œuvre en 2017, d’identifier les difficultés et contraintes liées à la mise en œuvre du projet et de fixer les perspectives d’activités pour l’année 2018, précise un communiqué dont l’AIP a reçu copie.
Une étude récente de vulnérabilité a montré que les secteurs de l’agriculture, de l’utilisation des terres, des forêts, des ressources en eau et de l’énergie font partie des secteurs les plus durement touchés par les changements climatiques.
Les effets observés sont la hausse des températures, la forte insolation, la baisse des précipitations, les perturbations des saisons et la recrudescence des catastrophes naturelles de forte intensité (inondation ou assèchement des plantations).
On estime que ces changements climatiques feront gonfler les rangs des affamés de 49 millions de personnes supplémentaires d’ici 2020 au niveau mondial.
D’ailleurs, selon le communiqué, la Côte d’Ivoire, pays agricole, "n’est pas en reste".
Un projet de mise en œuvre d’une agriculture intelligente a débuté le 10 juin 2016, pour faire face à ces changements climatiques et à l’insécurité alimentaire, signale-t-on.
Dd/kp