Abidjan - Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a organisé la toute première réunion sur l’orientation stratégique de la première étude nationale sur l’impact du VIH, une enquête qui a porté sur plus de 20 000 personnes à ce jour.
La réunion s’est tenue lundi à Abidjan, rapporte une note d’information de l’ambassade des États-Unis transmise mercredi à l’AIP.
L’étude, dénommée Evaluation de l’Impact du VIH basée sur la Population en Côte d’Ivoire (CIPHIA), vise à tester un échantillon national représentatif d’Ivoiriens, et ensuite utiliser les modèles statistiques pour créer une image de l’épidémie actuelle du VIH en Côte d’Ivoire.
Le comité de pilotage de CIPHIA, réuni lundi à Abidjan, a donné une orientation stratégique à l’étude, qui a débuté en août 2017. Environ 9 000 ménages y ont participé jusqu’ici et ont permis d’obtenir des échantillons de sang pour analyse. Les résultats préliminaires de l’enquête CIPHIA sont attendus d’ici à décembre 2018.
«Ces évaluations sont des entreprises complexes, et je salue la volonté et l’engagement de haut niveau d’un si grand nombre d’acteurs clés», a déclaré la Chargé d’Affaires de l’Ambassade des Etats-Unis, Katherine Brucker.
La directrice-pays du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Dr. G. Laïssa Ouedraogo, a expliqué qu’une fois achevée, les conclusions de l’Enquête CIPHIA aideront la Côte d’Ivoire à mieux comprendre son épidémie de VIH et à mieux orienter ses efforts en vue d’améliorer la prise en charge des personnes infectées du VIH et prévenir de nouvelles infections.
Le financement de ces Evaluations de l’impact du VIH basées sur la population, y compris celle de la Côte d’Ivoire, provient du Plan d’Urgence Présidentiel de Lutte contre le SIDA (PEPFAR). Le PEPFAR célébrera cette année, 15 années passées à sauver des vies grâce à la générosité du peuple américain et aux partenariats.
cmas
La réunion s’est tenue lundi à Abidjan, rapporte une note d’information de l’ambassade des États-Unis transmise mercredi à l’AIP.
L’étude, dénommée Evaluation de l’Impact du VIH basée sur la Population en Côte d’Ivoire (CIPHIA), vise à tester un échantillon national représentatif d’Ivoiriens, et ensuite utiliser les modèles statistiques pour créer une image de l’épidémie actuelle du VIH en Côte d’Ivoire.
Le comité de pilotage de CIPHIA, réuni lundi à Abidjan, a donné une orientation stratégique à l’étude, qui a débuté en août 2017. Environ 9 000 ménages y ont participé jusqu’ici et ont permis d’obtenir des échantillons de sang pour analyse. Les résultats préliminaires de l’enquête CIPHIA sont attendus d’ici à décembre 2018.
«Ces évaluations sont des entreprises complexes, et je salue la volonté et l’engagement de haut niveau d’un si grand nombre d’acteurs clés», a déclaré la Chargé d’Affaires de l’Ambassade des Etats-Unis, Katherine Brucker.
La directrice-pays du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Dr. G. Laïssa Ouedraogo, a expliqué qu’une fois achevée, les conclusions de l’Enquête CIPHIA aideront la Côte d’Ivoire à mieux comprendre son épidémie de VIH et à mieux orienter ses efforts en vue d’améliorer la prise en charge des personnes infectées du VIH et prévenir de nouvelles infections.
Le financement de ces Evaluations de l’impact du VIH basées sur la population, y compris celle de la Côte d’Ivoire, provient du Plan d’Urgence Présidentiel de Lutte contre le SIDA (PEPFAR). Le PEPFAR célébrera cette année, 15 années passées à sauver des vies grâce à la générosité du peuple américain et aux partenariats.
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