x Télécharger l'application mobile Abidjan.net Abidjan.net partout avec vous
Télécharger l'application
INSTALLER
PUBLICITÉ

Société Publié le mardi 20 mars 2018 | AIP

Abidjan abrite un atelier de dissémination de nouvelles directives de l’OMS sur la santé maternelle et néonatale

Abidjan - L’Organisation mondiale de la santé (OMS), en partenariat avec l’UNPFA et l’UNICEF, a ouvert lundi à Abidjan, un atelier de dissémination de nouvelles directives sur la santé de la mère et du nouveau-né, à l’endroit de 20 pays membres de la société africaine de gynécologie et obstétrique (SAGO).

Cet atelier qui se déroule au siège de l’OMS, à Cocody, réunit plusieurs professeur, médecins gynécologues et obstétriciens africains, sur quatre jours.

Il a pour objectif de partager les directives de l’OMS mises à jour sur la santé maternelle et néonatale, de partager la vision, le cadre conceptuel, les standards et la mise en œuvre de l’approche d’amélioration de la qualité des soins pour la santé de la mère et du nouveau-né, ainsi que la surveillance des décès maternels et néonatals et riposte.

Il vise aussi à élaborer un plan d’action pour intégrer les directives et standards de qualité des soins dans la formation de base pour les médecins et sages-femmes et l’amélioration de la pratique clinique.

Pour la directrice de soins infirmiers et maternelles, représentant la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Django-Nebout Claudine, les directives issues de l’atelier seront répercutées aux prestataires que sont les sages-femmes, les infirmiers et gynécologues.

« La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffie, a pour priorité nationale de réduire les décès évitables aux mères et aux nouveau-nés, c’est pour cela qu’elle fait de cette santé maternelle néonatale et infantile son cheval de bataille », a-t-elle relevé.

« Le système des Nations Unies attend de cet atelier la mise en pratique des directives recommandées par l’OMS, c’est pourquoi toutes ces recommandations doivent être enseignées à tous les étudiants qui sortent de ces facultés des différents pays membres de la SAGO », a indiqué le représentant résidant de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Yamoégo Jean Marie.

Les Nations Unies signeront par la suite un partenariat avec la Société africaine de gynéco-obstétrique pour qu’eux-mêmes suivent la mise en œuvre de ce qu’ils ont enseigné.

ano/cmas
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Playlist Société

Toutes les vidéos Société à ne pas rater, spécialement sélectionnées pour vous

PUBLICITÉ