Après la signature de l’accord portant création de la ZLECAf (Zone de Libre-Echange Continentale Africaine) par les dirigeants de 44 pays africains sur les 55 que compte l’Union Africaine, le mercredi 21 mars 2018, à Kigali, la capitale rwandaise, le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, s’est prononcé sur ce qui se présente désormais comme la plus vaste zone de libre-échange au monde.
« La création de la ZLECAf est inédite et historique car, c’est l’unique zone économique qui regroupera 55 pays avec un potentiel économique d’environ 600 millions de consommateurs de classe moyenne », indique le Ministre Souleymane Diarrassouba. Puis de définir une Zone de Libre Echange (ZLE) qui, selon lui, « est un ensemble de pays qui, dans le cadre du processus d’intégration de leurs économies, conviennent d’éliminer l’essentiel des barrières tarifaires et non tarifaires entre eux, chacun conservant sa propre politique commerciale extérieure ».
Pour lui, en effet, c’est la première étape de ce processus qui passe ensuite par une suite d’instruments de niveaux d’intégration croissants pour aboutir au marché commun africain à l’horizon 2025. Après la finalisation des annexes et appendices (règles d’origines, liste des produits sensibles ou à exclure), la ZLECAf ne rentrera en vigueur qu’après la ratification des accords par au moins 22 pays.
D’ici là, une sensibilisation des principaux acteurs, notamment le secteur privé et la société civile sera organisée pour leur implication et leur adhésion à ce processus qui leur offrira d’énormes opportunités. Faut-il le rappeler, la ZLECAf constitue, à ce jour, le projet phare de l’Union Africaine. Il est en réflexion depuis 2012 et concerne 1,2 milliard de personnes avec un PIB cumulé de 2500 milliards de dollars US.
« La création de la ZLECAf est inédite et historique car, c’est l’unique zone économique qui regroupera 55 pays avec un potentiel économique d’environ 600 millions de consommateurs de classe moyenne », indique le Ministre Souleymane Diarrassouba. Puis de définir une Zone de Libre Echange (ZLE) qui, selon lui, « est un ensemble de pays qui, dans le cadre du processus d’intégration de leurs économies, conviennent d’éliminer l’essentiel des barrières tarifaires et non tarifaires entre eux, chacun conservant sa propre politique commerciale extérieure ».
Pour lui, en effet, c’est la première étape de ce processus qui passe ensuite par une suite d’instruments de niveaux d’intégration croissants pour aboutir au marché commun africain à l’horizon 2025. Après la finalisation des annexes et appendices (règles d’origines, liste des produits sensibles ou à exclure), la ZLECAf ne rentrera en vigueur qu’après la ratification des accords par au moins 22 pays.
D’ici là, une sensibilisation des principaux acteurs, notamment le secteur privé et la société civile sera organisée pour leur implication et leur adhésion à ce processus qui leur offrira d’énormes opportunités. Faut-il le rappeler, la ZLECAf constitue, à ce jour, le projet phare de l’Union Africaine. Il est en réflexion depuis 2012 et concerne 1,2 milliard de personnes avec un PIB cumulé de 2500 milliards de dollars US.