Selon les informations, ce sucre frauduleux entre en Côte d’Ivoire via les frontières terrestres et maritimes par des voies détournées : routes secondaires et plans d’eau.
Aimé Koizan, le directeur général du Commerce intérieur était face à la presse le jeudi 29 mars, à Abidjan-Plateau. Une sortie médiatique justifiée par « des informations récurrentes faisant état de la présence de sucre de contrebande sur le marché national en provenance des pays d’Amérique du Sud et d’Asie ».
Face à cette situation qui menace l’industrie sucrière ivoirienne -- qui emploie près de 15 000 personnes -- et l’économie nationale, le directeur général « appelle à la vigilance sur les dangers liés à la consommation de ce sucre qui échappe au contrôle qualité »... suite de l'article sur Fraternité Matin
Aimé Koizan, le directeur général du Commerce intérieur était face à la presse le jeudi 29 mars, à Abidjan-Plateau. Une sortie médiatique justifiée par « des informations récurrentes faisant état de la présence de sucre de contrebande sur le marché national en provenance des pays d’Amérique du Sud et d’Asie ».
Face à cette situation qui menace l’industrie sucrière ivoirienne -- qui emploie près de 15 000 personnes -- et l’économie nationale, le directeur général « appelle à la vigilance sur les dangers liés à la consommation de ce sucre qui échappe au contrôle qualité »... suite de l'article sur Fraternité Matin