Des leaders estudiantins africains réunis au sein de la Confédération estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) ont appelé, mardi, au terme d’une rencontre à Abidjan, à l’uniformisation des frais d’nscription pour les nationaux et non nationaux, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Nous exigeons de tous les Etats, l’uniformisation des frais d’inscriptions pour tous les étudiants (nationaux comme non nationaux) », a indiqué Fulgence Assi, Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) également Secrétaire général de la Coordination estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA), entouré de ses pairs.
Aussi la rencontre d’Abidjan qui s’est ouverte le 19 avril dernier, a souhaité qu’une commission de l’Union Africaine (UA) soit dédiée à l’éducation et reconnaisse leur faitière, la CESA.
Par ailleurs, la rencontre d’Abidjan a recommandé aux structures, membres de la CESA, « d’associer à leur logo celle de la Confédération ».
Le Secrétaire général de la Confédération s’est prononcé également sur les crises en milieu universitaire notamment au Niger et au Bénin.
Fulgence Assi a exhorté les chefs d’Etats de ces deux pays ouest-africains à s’impliquer dans les résolutions des différentes crises et souhaité que soient relâchés leurs camarades incarcérés.
Présent à la clôture, de ce sommet qui avait pour thème « missions de la jeunesse estudiantine et scolaire face aux enjeux du développement du continent », le Secrétaire général permanent du Forum des Souverains et Leaders traditionnels d’Afrique, Jean Gervais Tchiffi Zié a conseillé aux étudiants de rompre avec la culture de la violence.
« Cultivez de bonnes relations avec vos autorités, cela est très important pour vous faire entendre », a-t-il insisté.
Créé en février 2015, le Confédération estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) regroupe 35 pays. Elle envisage une prochaine rencontre en Guinée dans le mois d’octobre.
SY/ls/APA
« Nous exigeons de tous les Etats, l’uniformisation des frais d’inscriptions pour tous les étudiants (nationaux comme non nationaux) », a indiqué Fulgence Assi, Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) également Secrétaire général de la Coordination estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA), entouré de ses pairs.
Aussi la rencontre d’Abidjan qui s’est ouverte le 19 avril dernier, a souhaité qu’une commission de l’Union Africaine (UA) soit dédiée à l’éducation et reconnaisse leur faitière, la CESA.
Par ailleurs, la rencontre d’Abidjan a recommandé aux structures, membres de la CESA, « d’associer à leur logo celle de la Confédération ».
Le Secrétaire général de la Confédération s’est prononcé également sur les crises en milieu universitaire notamment au Niger et au Bénin.
Fulgence Assi a exhorté les chefs d’Etats de ces deux pays ouest-africains à s’impliquer dans les résolutions des différentes crises et souhaité que soient relâchés leurs camarades incarcérés.
Présent à la clôture, de ce sommet qui avait pour thème « missions de la jeunesse estudiantine et scolaire face aux enjeux du développement du continent », le Secrétaire général permanent du Forum des Souverains et Leaders traditionnels d’Afrique, Jean Gervais Tchiffi Zié a conseillé aux étudiants de rompre avec la culture de la violence.
« Cultivez de bonnes relations avec vos autorités, cela est très important pour vous faire entendre », a-t-il insisté.
Créé en février 2015, le Confédération estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) regroupe 35 pays. Elle envisage une prochaine rencontre en Guinée dans le mois d’octobre.
SY/ls/APA