Yamoussoukro -Un groupe de chercheurs de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA) a décidé d’intensifier l’accès à l’électricité à travers plusieurs projets énergétiques par la promotion des énergies vertes à hauteur de 82% à l’horizon 2030.
Pour y parvenir les experts en énergies renouvelables sont réunis dans le cadre d’un séminaire à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, où ils mènent depuis jeudi, des réflexions pour la mise en place dans un premier temps, d’un réseau sous-régional de recherche sur les énergies renouvelables.
Selon les experts, malgré le potentiel énergétique dont dispose l’Afrique, la plupart des pays du continent souffrent d’un manque accru de valorisation des énergies vertes.
La rencontre internationale est initiée par l’INP-HB sur financement de l’UEMOA via le PACER. Elle enregistre la participation des chercheurs de sept pays de l’espace sur huit, à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, le Togo, et le Niger, les chercheurs de la Guinée-Bissau n’ayant pu effectuer le voyage de Yamoussoukro.
Elle vise à dynamiser la recherche collaboratrice, une sorte de plateforme de collaboration, de concertation et d’échanges scientifiques pour un accès à l’électricité avec les énergies renouvelables pour renverser la donne relative à l’utilisation de l’électricité générée par les combustibles d’origine fossile. Le réseau s’adossera sur les laboratoires de recherche sur les énergies renouvelables et permettra des co-encadrements et des co-tutelles de thèse sur des thématiques variées du domaine.
A l’ouverture des travaux, le président du comité d’organisation de la rencontre scientifique, Pr Gbaha Prosper a souligné que le changement climatique, la conséquence en partie de l’utilisation abusive des combustibles d’origine fossile, est devenu un danger pour la planète terre.
Il a conseillé la mutualisation des idées de recherche pour le développement des énergies renouvelables dans leurs Universités instituts et centres de recherche et la mise en commun d'une plateforme qui devrait permettre acquisition de cette nouvelle forme d’énergie.
Le directeur général adjoint de l’INP-HB, Sangaré Moustapha, soulignant l’importance du thème, a salué l’initiative. Il a rassuré les chercheurs réunis à Yamoussoukro, sur le soutien de l’institut pour qu’elle perdure et soit favorable aux populations de l’espace UEMOA.
Le séminaire de la mise en place en place du réseau sous-régional de recherche sous les énergies renouvelables va durer deux jours. Il sera surtout un cadre d’échanges d’expériences entre chercheurs en matière de résultats sur les énergies renouvelables, et de validation des textes fondateurs du réseau.
(AIP)
nam/fmo
Pour y parvenir les experts en énergies renouvelables sont réunis dans le cadre d’un séminaire à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, où ils mènent depuis jeudi, des réflexions pour la mise en place dans un premier temps, d’un réseau sous-régional de recherche sur les énergies renouvelables.
Selon les experts, malgré le potentiel énergétique dont dispose l’Afrique, la plupart des pays du continent souffrent d’un manque accru de valorisation des énergies vertes.
La rencontre internationale est initiée par l’INP-HB sur financement de l’UEMOA via le PACER. Elle enregistre la participation des chercheurs de sept pays de l’espace sur huit, à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, le Togo, et le Niger, les chercheurs de la Guinée-Bissau n’ayant pu effectuer le voyage de Yamoussoukro.
Elle vise à dynamiser la recherche collaboratrice, une sorte de plateforme de collaboration, de concertation et d’échanges scientifiques pour un accès à l’électricité avec les énergies renouvelables pour renverser la donne relative à l’utilisation de l’électricité générée par les combustibles d’origine fossile. Le réseau s’adossera sur les laboratoires de recherche sur les énergies renouvelables et permettra des co-encadrements et des co-tutelles de thèse sur des thématiques variées du domaine.
A l’ouverture des travaux, le président du comité d’organisation de la rencontre scientifique, Pr Gbaha Prosper a souligné que le changement climatique, la conséquence en partie de l’utilisation abusive des combustibles d’origine fossile, est devenu un danger pour la planète terre.
Il a conseillé la mutualisation des idées de recherche pour le développement des énergies renouvelables dans leurs Universités instituts et centres de recherche et la mise en commun d'une plateforme qui devrait permettre acquisition de cette nouvelle forme d’énergie.
Le directeur général adjoint de l’INP-HB, Sangaré Moustapha, soulignant l’importance du thème, a salué l’initiative. Il a rassuré les chercheurs réunis à Yamoussoukro, sur le soutien de l’institut pour qu’elle perdure et soit favorable aux populations de l’espace UEMOA.
Le séminaire de la mise en place en place du réseau sous-régional de recherche sous les énergies renouvelables va durer deux jours. Il sera surtout un cadre d’échanges d’expériences entre chercheurs en matière de résultats sur les énergies renouvelables, et de validation des textes fondateurs du réseau.
(AIP)
nam/fmo