Le vendredi 18 Mai dernier, le Ministre de l’Industrie et des Mines par intérim, M. Souleymane Diarrassouba, a accordé à son cabinet (22è Etage de la Tour Postel 2001) une toute première audience au Groupement des exploitants des petites mines et acheteurs de Côte d’Ivoire (GPMA), avec à sa tête son Président, M. Bamba Zakary accompagné des principaux membres de son Bureau.
Les artisans miniers sont venus partager avec le Ministre leurs préoccupations par rapport aux activités d’orpaillage sur le terrain et à la procédure d’instruction des dossiers de demandes des autorisations qu’ils trouvent longue et coûteuse. Sur cette question, ils ont formulé des propositions visant à réduire les délais d’instruction des dossiers. « A défaut, qu’il soit créé un guichet unique à Abidjan pour l’instruction des dossiers », ont-ils recommandé, entre autres.
Pour ce qui est de l’orpaillage clandestin, le Président du GPMA a fait part au Ministre de sa volonté d’aider le Gouvernement à combattre efficacement sur le terrain l’orpaillage clandestin, qui selon le Groupement, est toujours d’actualité, malgré les avancées obtenues avec la mise en œuvre du programme de rationalisation de l’orpaillage dans toutes nos régions où ce fléau sévit. « Dans les localités concernées, l’on assiste à la prise en otage de la population et la défiance de l’autorité de l’Etat avec tous ses corollaires de méfaits dont l’utilisation des enfants dans les mines et le grand banditisme », a relevé le Président de GPMA.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba entouré de ses principaux collaborateurs dont le Directeur Général des mines, M. Ibrahima Coulibaly, a remercié les exploitants et acheteurs de petites mines pour avoir créé, à l’image des grandes mines, leur Groupement, pour fédérer leurs actions et entretenir le dialogue avec son Cabinet. Après avoir passé en revue les problèmes évoqués, le Ministre s’est appesanti sur la question de l’orpaillage clandestin : « Les grandes mines nous donnent satisfaction mais le fléau de l’orpaillage clandestin est en train de détruire notre environnement et notre écosystème. On ne peut pas tout régler par la répression. Il nous faudra trouver des solutions alternatives ». De la simplification des procédures d’instruction des dossiers et du financement des petits exploitants légalement installés, le Ministre Diarrassouba a parlé au GPMA. « S’il n’y a pas de financement dans une filière, il est difficile qu’elle se développe. Il est bon que le secteur bancaire s’intéresse au secteur minier », a-t-il recommandé. Pour finir, le Ministre a demandé au Président du Groupement d’adresser leurs préoccupations de façon plus officielle, afin de rechercher ensemble des solutions idoines.
Les artisans miniers sont venus partager avec le Ministre leurs préoccupations par rapport aux activités d’orpaillage sur le terrain et à la procédure d’instruction des dossiers de demandes des autorisations qu’ils trouvent longue et coûteuse. Sur cette question, ils ont formulé des propositions visant à réduire les délais d’instruction des dossiers. « A défaut, qu’il soit créé un guichet unique à Abidjan pour l’instruction des dossiers », ont-ils recommandé, entre autres.
Pour ce qui est de l’orpaillage clandestin, le Président du GPMA a fait part au Ministre de sa volonté d’aider le Gouvernement à combattre efficacement sur le terrain l’orpaillage clandestin, qui selon le Groupement, est toujours d’actualité, malgré les avancées obtenues avec la mise en œuvre du programme de rationalisation de l’orpaillage dans toutes nos régions où ce fléau sévit. « Dans les localités concernées, l’on assiste à la prise en otage de la population et la défiance de l’autorité de l’Etat avec tous ses corollaires de méfaits dont l’utilisation des enfants dans les mines et le grand banditisme », a relevé le Président de GPMA.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba entouré de ses principaux collaborateurs dont le Directeur Général des mines, M. Ibrahima Coulibaly, a remercié les exploitants et acheteurs de petites mines pour avoir créé, à l’image des grandes mines, leur Groupement, pour fédérer leurs actions et entretenir le dialogue avec son Cabinet. Après avoir passé en revue les problèmes évoqués, le Ministre s’est appesanti sur la question de l’orpaillage clandestin : « Les grandes mines nous donnent satisfaction mais le fléau de l’orpaillage clandestin est en train de détruire notre environnement et notre écosystème. On ne peut pas tout régler par la répression. Il nous faudra trouver des solutions alternatives ». De la simplification des procédures d’instruction des dossiers et du financement des petits exploitants légalement installés, le Ministre Diarrassouba a parlé au GPMA. « S’il n’y a pas de financement dans une filière, il est difficile qu’elle se développe. Il est bon que le secteur bancaire s’intéresse au secteur minier », a-t-il recommandé. Pour finir, le Ministre a demandé au Président du Groupement d’adresser leurs préoccupations de façon plus officielle, afin de rechercher ensemble des solutions idoines.