Bouaké - Une délégation de la plateforme régionale de la plateforme des fonctionnaires de Gbêkê, conduite par Jean Francis Alger Ekoungoun, a échangé, mardi, avec le directeur régional de la SODECI, Kouadio N'guessan Konan, pour s’enquérir des mesures prises pour résoudre le problème de pénurie qui touche certains quartiers, villages de la commune et localités alimentées par la station de la Loka en difficulté.
Dr Ekoungoun s’inquiète des conséquences qui découlent de l'absence d'eau potable notamment, les retards et l’absentéisme dans les services justifiés par la pénurie, les dépenses supplémentaires sur le budget familial occasionnées par l’achat d’eau minéral et des sachets d’eau, les désagréments liés à la distribution d’eau par les camions citernes et l’augmentation des prix des récipients tels que les bidons sur le marché local.
«Nous sommes en service à Bouaké, nous sommes là pour le devoir, en retour, l'Etat ne fait pas son devoir, son devoir de nous garantir la sécurité. Pour qu'un lac soit asséché, il faut du temps, les responsabilités n'ont pas été prises, nous observons que l'Etat n'a pas joué son rôle», a-t-il décrié.
Le directeur régional de la SODECI de Gbêkê a rassuré la délégation des fonctionnaires en leur expliquant que les mesures d’urgence sont en train d'être mises en œuvre notamment, la construction d’une dizaine de forages, le ravitaillement des zones touchées par camions citernes, l’installation de stations de traitement mobile. Il a invité les fonctionnaires à une visite sur les chantiers, vendredi.
Face à cette situation, Dr Ekoungoun et ses camarades fonctionnaires ont prévu se retrouver, samedi, à l'Université Alassane Ouattara de Bouaké pour une Assemblée Générale en vue de réfléchir sur la question.
nbf/fmo
Dr Ekoungoun s’inquiète des conséquences qui découlent de l'absence d'eau potable notamment, les retards et l’absentéisme dans les services justifiés par la pénurie, les dépenses supplémentaires sur le budget familial occasionnées par l’achat d’eau minéral et des sachets d’eau, les désagréments liés à la distribution d’eau par les camions citernes et l’augmentation des prix des récipients tels que les bidons sur le marché local.
«Nous sommes en service à Bouaké, nous sommes là pour le devoir, en retour, l'Etat ne fait pas son devoir, son devoir de nous garantir la sécurité. Pour qu'un lac soit asséché, il faut du temps, les responsabilités n'ont pas été prises, nous observons que l'Etat n'a pas joué son rôle», a-t-il décrié.
Le directeur régional de la SODECI de Gbêkê a rassuré la délégation des fonctionnaires en leur expliquant que les mesures d’urgence sont en train d'être mises en œuvre notamment, la construction d’une dizaine de forages, le ravitaillement des zones touchées par camions citernes, l’installation de stations de traitement mobile. Il a invité les fonctionnaires à une visite sur les chantiers, vendredi.
Face à cette situation, Dr Ekoungoun et ses camarades fonctionnaires ont prévu se retrouver, samedi, à l'Université Alassane Ouattara de Bouaké pour une Assemblée Générale en vue de réfléchir sur la question.
nbf/fmo