Songon - Le représentant-résident de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, Thilo Schöne, a procédé à l’ouverture d’un atelier dans la commune de Songon pour amorcer le développement durable du village d’Audoin-Aassandin.
Cet atelier de deux jours, organisé par la chefferie traditionnelle du village d’Audoin Assandin (sous-préfecture de Songon), vise à assurer le développement durable du village confronté à des difficultés depuis quelques années, a expliqué vendredi son chef, Alain Ackou.
"La fondation Friedrich Ebert Stiftung, aux côtés de la jeune chefferie du village Audoin Assandin, va contribuer au renforcement des capacités de ses dirigeants sur les questions de la gouvernance locale et leur enseigner des techniques de règlement des conflits", a indiqué, pour sa part, le représentant- résident Thilo Schöne.
M. Shöne espère que cette formation de deux jours pourra aider cette frange de la population du village Audoin Assandin à améliorer la vie de ses concitoyens.
Il était aussi question, les 40 participants représentant toutes les couches sociales et les quatre générations, à savoir Dougbô, Tchagba, Bléssoué, Gnandô, de proposer des solutions idoines pour la survie du village Audoin Assandin dont "plusieurs terres ont été bradées".
(AIP)
tg/akn/kp
Cet atelier de deux jours, organisé par la chefferie traditionnelle du village d’Audoin Assandin (sous-préfecture de Songon), vise à assurer le développement durable du village confronté à des difficultés depuis quelques années, a expliqué vendredi son chef, Alain Ackou.
"La fondation Friedrich Ebert Stiftung, aux côtés de la jeune chefferie du village Audoin Assandin, va contribuer au renforcement des capacités de ses dirigeants sur les questions de la gouvernance locale et leur enseigner des techniques de règlement des conflits", a indiqué, pour sa part, le représentant- résident Thilo Schöne.
M. Shöne espère que cette formation de deux jours pourra aider cette frange de la population du village Audoin Assandin à améliorer la vie de ses concitoyens.
Il était aussi question, les 40 participants représentant toutes les couches sociales et les quatre générations, à savoir Dougbô, Tchagba, Bléssoué, Gnandô, de proposer des solutions idoines pour la survie du village Audoin Assandin dont "plusieurs terres ont été bradées".
(AIP)
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