Dans le cadre de la mise en œuvre des décisions du Sommet extraordinaire des Chefs d’Etats et de Gouvernement de l’Union Africaine (UA) du 21 mars 2018 à Kigali, la Commission de l’Union Africaine (CUA) a organisé les 3 et 4 juin 2018 à Dakar au Sénégal, la 6ème réunion des Ministres africains du commerce sur la Zone de Libre Echange Continentale Africaine (ZLECAf).
Pour rappel, le Sommet de Kigali avait enregistré la signature par 44 Etats de l’UA dont la Côte d’Ivoire, de l’Accord cadre portant création de la ZLECAf assorti de ses trois Protocoles sur respectivement, le commerce des marchandises, le commerce des services, les règles et procédures relatives au règlement des différends. A ce jour, 4 Etats de l’UA (le Rwanda, le Ghana, le Kenya et le Niger) ont ratifié l’Accord parmi lesquels, 3 (le Rwanda, le Ghana et le Kenya) ont déposé à la CUA, leurs instruments de ratification.
La décision du Sommet de Kigali relative à la ZLECAf a prévu dans le cadre d’un programme de travail transitoire de mise en œuvre de l’Accord sur la ZLECAf, le traitement des questions en suspens sur les modalités de libéralisation, la finalisation et la mise à la disposition du prochain Sommet des chefs d’Etat prévu en juillet 2018 en Mauritanie, pour adoption, les Annexes au Protocoles.
La sixième réunion des Ministres africains du commerce sur la ZLECAf a enregistré la participation active de la Côte d’Ivoire. En effet, les travaux ont été présidés par Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, désigné à cette fin par ses pairs de l’UA. A l’issue d’une concertation des délégations des Etats membres de la CEDEAO, le Négociateur en Chef de notre pays au Forum des Négociations de la ZLECAf a été mandaté, pour représenter l’Afrique de l’Ouest au sein du bureau de séance, en qualité de Rapporteur.
Au terme de leurs travaux et suivant les orientations de la rencontre du Comité des Hauts Fonctionnaires au commerce de l’UA des 1er et 2 juin 2018, les Ministres ont pris plusieurs décisions notamment en termes de recommandations au prochain Sommet des chefs d’Etat, sur les modalités de libéralisation tarifaire, les secteurs prioritaires pour la libéralisation des services et les Annexes aux Protocoles de l’Accord cadre.
Pour rappel, le Sommet de Kigali avait enregistré la signature par 44 Etats de l’UA dont la Côte d’Ivoire, de l’Accord cadre portant création de la ZLECAf assorti de ses trois Protocoles sur respectivement, le commerce des marchandises, le commerce des services, les règles et procédures relatives au règlement des différends. A ce jour, 4 Etats de l’UA (le Rwanda, le Ghana, le Kenya et le Niger) ont ratifié l’Accord parmi lesquels, 3 (le Rwanda, le Ghana et le Kenya) ont déposé à la CUA, leurs instruments de ratification.
La décision du Sommet de Kigali relative à la ZLECAf a prévu dans le cadre d’un programme de travail transitoire de mise en œuvre de l’Accord sur la ZLECAf, le traitement des questions en suspens sur les modalités de libéralisation, la finalisation et la mise à la disposition du prochain Sommet des chefs d’Etat prévu en juillet 2018 en Mauritanie, pour adoption, les Annexes au Protocoles.
La sixième réunion des Ministres africains du commerce sur la ZLECAf a enregistré la participation active de la Côte d’Ivoire. En effet, les travaux ont été présidés par Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, désigné à cette fin par ses pairs de l’UA. A l’issue d’une concertation des délégations des Etats membres de la CEDEAO, le Négociateur en Chef de notre pays au Forum des Négociations de la ZLECAf a été mandaté, pour représenter l’Afrique de l’Ouest au sein du bureau de séance, en qualité de Rapporteur.
Au terme de leurs travaux et suivant les orientations de la rencontre du Comité des Hauts Fonctionnaires au commerce de l’UA des 1er et 2 juin 2018, les Ministres ont pris plusieurs décisions notamment en termes de recommandations au prochain Sommet des chefs d’Etat, sur les modalités de libéralisation tarifaire, les secteurs prioritaires pour la libéralisation des services et les Annexes aux Protocoles de l’Accord cadre.