Le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la promotion des PME, par ailleurs Ministre par intérim de l’industrie et des Mines, Souleymane Diarrassouba a procédé ce jeudi 7 juin 2018, à Abidjan, au lancement de la 3ème édition du Salon International des Équipements et des Technologies de transformation de l’Anacarde (SIETTA) prévue du 8 au 10 novembre prochain.
Conçu comme une plateforme d’exposition, de démonstration, de vente d’innovations en matière de transformation de l’anacarde ainsi que d’échanges entre professionnels nationaux et internationaux du secteur, le SIETTA pour sa 3ème édition s’est fixé pour objectif de contribuer à accroître la valeur ajoutée locale de l’anacarde par la création des conditions d’accessibilité des investisseurs nationaux et internationaux aux équipements et technologies de transformation de l’anacarde.
Il s’agira plus spécifiquement à travers le SIETTA 2018, entre autres, d’améliorer la productivité des entreprises – Favoriser l’installation des équipementiers en Côte d’Ivoire – créer des liens d’affaires entre les acteurs de la chaîne de valeur – offrir des possibilités d’investissement aux décideurs étrangers – susciter l’intérêt du grand public pour les produits de l’anacarde.
Pour l’édition 2018, le Conseil du Coton anacarde, initiateur du SIETTA, a décidé de susciter la réflexion autour de la mine d’opportunités que représente la transformation de l’anacarde pour l’autonomisation de la jeunesse africaine. Selon le Président du Conseil d’Administration du Conseil Coton Anacarde Bamba Mamadou, l’enjeu de cette troisième édition du SIETTA dont l’objectif est de renforcer la connaissance et la promotion des équipements et des technologies de transformation comme les deux premières éditions pour une valorisation plus accrue de l’anacarde, est de rendre l’industrie de l’anacarde attrayante pour la jeunesse.
‘’Le thème de la présente édition 2018 vient à point nommé parce qu’il porte sur la priorité du Gouvernement de créer les conditions d’épanouissement de sa jeunesse ou mieux la création de richesse pour cette jeunesse qui a tendance à s’exiler sous d’autres cieux, au péril de sa vie, pour chercher des moyens de sa subsistance’’, s’est félicité Bamba Mamadou. Avant de rappeler les énormes potentialités de création d’emplois voire d’opportunités de richesse dont recèle l’industrie de l’anacarde. Pour preuve, la production actuelle de noix brute de 711 236 tonnes en 2017, devrait faire l’objet de transformation, générant au moins 100 000 emplois.
Le Directeur général du conseil Coton-Anacarde par ailleurs Commissaire général du SIETTA, le Dr Adama Coulibaly a quant a lui fait un bilan de l’édition 2016 du SIETTA. C’est Plus de 12 000 visiteurs et participants, venus d’une trentaine de pays d’Afrique, d’Asie, d’Europe et d’Amérique qui ont pris part à l’édition du SIETTA il y’a deux ans.
C’est 29 équipementiers dont 6 nationaux et 23 internationaux qui ont répondu présents à ce grand rendez-vous de l’anacarde en 2016. Six grandes thématiques ont été examinées à travers seize sessions thématiques animées par 48 panélistes et 15 Modérateurs ; Une cinquantaine de rencontres d’affaires ont été organisées entre 19 entreprises internationales et 21 acteurs locaux et sous régionaux. L’on a assisté durant cette édition 2016 du SIETTA à la signature de la convention portant création du Conseil International Consultatif du Cajou (CICC) par 5 pays producteurs de cajou : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Togo et Sénégal ;
La coopération entre les pays africains producteurs du cajou a été également renforcée à travers la mise en place du Conseil International Consultatif du Cajou dont la Côte d’Ivoire abritera le siège, a rappelé le Dr Daouda Coulibaly.
Le SIETTA a acquis désormais une notoriété internationale en tant que plus grand forum de l’industrie mondiale du cajou et un véritable rendez-vous d’exposition-vente.
Elisée B.
Conçu comme une plateforme d’exposition, de démonstration, de vente d’innovations en matière de transformation de l’anacarde ainsi que d’échanges entre professionnels nationaux et internationaux du secteur, le SIETTA pour sa 3ème édition s’est fixé pour objectif de contribuer à accroître la valeur ajoutée locale de l’anacarde par la création des conditions d’accessibilité des investisseurs nationaux et internationaux aux équipements et technologies de transformation de l’anacarde.
Il s’agira plus spécifiquement à travers le SIETTA 2018, entre autres, d’améliorer la productivité des entreprises – Favoriser l’installation des équipementiers en Côte d’Ivoire – créer des liens d’affaires entre les acteurs de la chaîne de valeur – offrir des possibilités d’investissement aux décideurs étrangers – susciter l’intérêt du grand public pour les produits de l’anacarde.
Pour l’édition 2018, le Conseil du Coton anacarde, initiateur du SIETTA, a décidé de susciter la réflexion autour de la mine d’opportunités que représente la transformation de l’anacarde pour l’autonomisation de la jeunesse africaine. Selon le Président du Conseil d’Administration du Conseil Coton Anacarde Bamba Mamadou, l’enjeu de cette troisième édition du SIETTA dont l’objectif est de renforcer la connaissance et la promotion des équipements et des technologies de transformation comme les deux premières éditions pour une valorisation plus accrue de l’anacarde, est de rendre l’industrie de l’anacarde attrayante pour la jeunesse.
‘’Le thème de la présente édition 2018 vient à point nommé parce qu’il porte sur la priorité du Gouvernement de créer les conditions d’épanouissement de sa jeunesse ou mieux la création de richesse pour cette jeunesse qui a tendance à s’exiler sous d’autres cieux, au péril de sa vie, pour chercher des moyens de sa subsistance’’, s’est félicité Bamba Mamadou. Avant de rappeler les énormes potentialités de création d’emplois voire d’opportunités de richesse dont recèle l’industrie de l’anacarde. Pour preuve, la production actuelle de noix brute de 711 236 tonnes en 2017, devrait faire l’objet de transformation, générant au moins 100 000 emplois.
Le Directeur général du conseil Coton-Anacarde par ailleurs Commissaire général du SIETTA, le Dr Adama Coulibaly a quant a lui fait un bilan de l’édition 2016 du SIETTA. C’est Plus de 12 000 visiteurs et participants, venus d’une trentaine de pays d’Afrique, d’Asie, d’Europe et d’Amérique qui ont pris part à l’édition du SIETTA il y’a deux ans.
C’est 29 équipementiers dont 6 nationaux et 23 internationaux qui ont répondu présents à ce grand rendez-vous de l’anacarde en 2016. Six grandes thématiques ont été examinées à travers seize sessions thématiques animées par 48 panélistes et 15 Modérateurs ; Une cinquantaine de rencontres d’affaires ont été organisées entre 19 entreprises internationales et 21 acteurs locaux et sous régionaux. L’on a assisté durant cette édition 2016 du SIETTA à la signature de la convention portant création du Conseil International Consultatif du Cajou (CICC) par 5 pays producteurs de cajou : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Togo et Sénégal ;
La coopération entre les pays africains producteurs du cajou a été également renforcée à travers la mise en place du Conseil International Consultatif du Cajou dont la Côte d’Ivoire abritera le siège, a rappelé le Dr Daouda Coulibaly.
Le SIETTA a acquis désormais une notoriété internationale en tant que plus grand forum de l’industrie mondiale du cajou et un véritable rendez-vous d’exposition-vente.
Elisée B.