Yamoussoukro- La Côte d’Ivoire et le Ghana mènent des actions pour un rapprochement de leur système de commercialisation en vue de peser sur le prix de l’or brun sur le marché mondial, a confié mercredi, le directeur général du Conseil du café-cacao, Koné Brahima Yves, lors de la 7ème assemblée plénière de la Plateforme de partenariat public-privé de la filière café-cacao (PPPP) en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire, première productrice de cacao et le Ghana, 2ème, représentent 60 % de l’offre mondiale cacao. « L’espoir, c’est que si on rapproche nos systèmes de commercialisation, nous pourrons décider sur un prix plancher », a fait remarquer le président de la PPPP à l’ouverture de la 7ème assemblée plénière de la plateforme.
Après que la Côte d'Ivoire a franchi la barre de deux millions de tonnes de cacao, il y a deux ans, le Gouvernement ivoirien a affiché clairement son ambition de stabiliser sa production et de créer la richesse par la transformation et à la consommation des produits.
M. Koné a souligné que la limitation de la production à deux millions de tonnes ne changera pas quelque chose. « Il faut des actions avec les producteurs qui sont en Afrique de l'Ouest qui produisent beaucoup, avec le Cameroun, le Nigeria et nous pensons que ceux-là vont nous rejoindre », a-t-il indiqué.
Koné Brahima Yves a ajouté qu’ensemble, ces quatre pays représentent à peu près 73 % de l’offre mondiale. "Et si nous nous entendons et que nous fixons à 1300 ou 1400 francs le prix du cacao sur le marché international, les acheteurs n’auront pas le choix. Ils seront obligés d’acheter au prix que nous allons leur indiquer» , a expliqué le président de la PPPP de la filière café-cacao. Il a exhorté les pays producteurs de la sous-région à se donner la main pour l’amélioration du prix aux paysans.
La 7ème Assemblée plénière de la PPPP de la filière café-cacao sera l’occasion pour les 103 membres de faire le bilan des activés. Mise en place en mai 2012 par le ministre de l'Agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly, la Plateforme a pour mission, entre autres, de faciliter les échanges et le dialogue entre les acteurs de la filière café-cacao en vue de contribuer à la résolution des problèmes rencontrés le long de la chaîne des valeurs de la filière. Elle ambitionne aussi de favoriser la coordination des interventions sur le terrain par une harmonisation des approches et des indicateurs du suivi - évaluation des programmes et projets.
nam/cmas
La Côte d’Ivoire, première productrice de cacao et le Ghana, 2ème, représentent 60 % de l’offre mondiale cacao. « L’espoir, c’est que si on rapproche nos systèmes de commercialisation, nous pourrons décider sur un prix plancher », a fait remarquer le président de la PPPP à l’ouverture de la 7ème assemblée plénière de la plateforme.
Après que la Côte d'Ivoire a franchi la barre de deux millions de tonnes de cacao, il y a deux ans, le Gouvernement ivoirien a affiché clairement son ambition de stabiliser sa production et de créer la richesse par la transformation et à la consommation des produits.
M. Koné a souligné que la limitation de la production à deux millions de tonnes ne changera pas quelque chose. « Il faut des actions avec les producteurs qui sont en Afrique de l'Ouest qui produisent beaucoup, avec le Cameroun, le Nigeria et nous pensons que ceux-là vont nous rejoindre », a-t-il indiqué.
Koné Brahima Yves a ajouté qu’ensemble, ces quatre pays représentent à peu près 73 % de l’offre mondiale. "Et si nous nous entendons et que nous fixons à 1300 ou 1400 francs le prix du cacao sur le marché international, les acheteurs n’auront pas le choix. Ils seront obligés d’acheter au prix que nous allons leur indiquer» , a expliqué le président de la PPPP de la filière café-cacao. Il a exhorté les pays producteurs de la sous-région à se donner la main pour l’amélioration du prix aux paysans.
La 7ème Assemblée plénière de la PPPP de la filière café-cacao sera l’occasion pour les 103 membres de faire le bilan des activés. Mise en place en mai 2012 par le ministre de l'Agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly, la Plateforme a pour mission, entre autres, de faciliter les échanges et le dialogue entre les acteurs de la filière café-cacao en vue de contribuer à la résolution des problèmes rencontrés le long de la chaîne des valeurs de la filière. Elle ambitionne aussi de favoriser la coordination des interventions sur le terrain par une harmonisation des approches et des indicateurs du suivi - évaluation des programmes et projets.
nam/cmas