Yamoussoukro-Les membres de la Plateforme de partenariat public-privé de la filière café-cacao (PPPP) en Côte d’Ivoire réunie de mercredi à vendredi à Yamoussoukro dans le cadre de la 7ème assemblée plénière ont invité tous les acteurs à s’impliquer davantage dans la détermination d’un prix « décent » au producteur.
Les acteurs de la filière ont, au terme de trois jours de travaux, demandé au Conseil du café-cacao de s’impliquer encore plus dans la mise en œuvre de l’initiative Cacao et forêt. Ils ont encouragé la mise en œuvre des projets agroforestiers dans toutes les zones de production y compris les zones dites marginales, et l’implication de tous dans la lutte contre la maladie du Swollen shoot.
Les participants à la 7è assemblée plénière de la filière café-cacao ont recommandé par ailleurs l’élaboration d’un document unique Opérationnalité en vue de faciliter l’application de la stratégie de préservation des forêts par des services de vulgarisation. Ils ont encouragé les communautés et coopératives à une implication plus forte dans la création et la restauration du couvert forestier.
La Plateforme a invité ses membres à la prise en compte de l’impact de l’application des pesticides dans le développement de systèmes agroforestiers à base d’arbres. Elle invite le Conseil du café-cacao à mettre en place les conditions de création de marché spécifique d’approvisionnement en matière première au profit des PME-PMI de la transformation.
Il a été recommandé à l’industrie et au Conseil du café-cacao à mettre en place des curricula de formation sur les différents métiers de formation sur les différents métiers autour du café-cacao, la création de zones ou pôles industriels dédiés aux PME-PMI.
Les membres du PPPP ont surtout recommandé la création d’un fonds spécifique de développement industriel d’appui aux startups de la transformation du café et du cacao, la mise en place d’un comité de réflexion sur la mise en œuvre des diligences en matières de transformation, l’autonomie du secrétariat, le renforcement de la communication entre les membres ainsi que le suivi des recommandations.
Le directeur des cultures de rente, Goré Bi Marcel, représentant le ministre de l'Agriculture et du Développement rural a expliqué qu’après l’atteinte avant terme de deux millions de tonnes fixé en 2023 et la mise en place des actions pour améliorer la transformation, le Conseil du café-cacao devra s’atteler à de véritables actions vigoureuses de promotion de la consommation.
M. Goré Bi a salué la décision relative à l’amélioration du revenu du producteur, le maillon faible mais déterminant de la durabilité de la filière. Il a également souhaité la redynamisation de la Plateforme pour mener à bien sa mission de résolution des problèmes rencontrés le long de la chaîne des valeurs de la filière.
nam/cmas
Les acteurs de la filière ont, au terme de trois jours de travaux, demandé au Conseil du café-cacao de s’impliquer encore plus dans la mise en œuvre de l’initiative Cacao et forêt. Ils ont encouragé la mise en œuvre des projets agroforestiers dans toutes les zones de production y compris les zones dites marginales, et l’implication de tous dans la lutte contre la maladie du Swollen shoot.
Les participants à la 7è assemblée plénière de la filière café-cacao ont recommandé par ailleurs l’élaboration d’un document unique Opérationnalité en vue de faciliter l’application de la stratégie de préservation des forêts par des services de vulgarisation. Ils ont encouragé les communautés et coopératives à une implication plus forte dans la création et la restauration du couvert forestier.
La Plateforme a invité ses membres à la prise en compte de l’impact de l’application des pesticides dans le développement de systèmes agroforestiers à base d’arbres. Elle invite le Conseil du café-cacao à mettre en place les conditions de création de marché spécifique d’approvisionnement en matière première au profit des PME-PMI de la transformation.
Il a été recommandé à l’industrie et au Conseil du café-cacao à mettre en place des curricula de formation sur les différents métiers de formation sur les différents métiers autour du café-cacao, la création de zones ou pôles industriels dédiés aux PME-PMI.
Les membres du PPPP ont surtout recommandé la création d’un fonds spécifique de développement industriel d’appui aux startups de la transformation du café et du cacao, la mise en place d’un comité de réflexion sur la mise en œuvre des diligences en matières de transformation, l’autonomie du secrétariat, le renforcement de la communication entre les membres ainsi que le suivi des recommandations.
Le directeur des cultures de rente, Goré Bi Marcel, représentant le ministre de l'Agriculture et du Développement rural a expliqué qu’après l’atteinte avant terme de deux millions de tonnes fixé en 2023 et la mise en place des actions pour améliorer la transformation, le Conseil du café-cacao devra s’atteler à de véritables actions vigoureuses de promotion de la consommation.
M. Goré Bi a salué la décision relative à l’amélioration du revenu du producteur, le maillon faible mais déterminant de la durabilité de la filière. Il a également souhaité la redynamisation de la Plateforme pour mener à bien sa mission de résolution des problèmes rencontrés le long de la chaîne des valeurs de la filière.
nam/cmas