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Au nom du Gouvernement ivoirien, le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Ministre par intérim de l’Industrie et des Mines, Souleymane Diarrassouba, a participé au Dialogue d’Affaires entre les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire. En présence Sous-Secrétaire américain au Commerce, Gilbert Kaplan, le Ministre Diarrassouba a salué la progression des échanges commerciaux entre les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire.
« La valeur des exportations de la Côte d’Ivoire vers les Etats-Unis est passée de 448 milliards Fcfa (896 millions de dollars EU) en 2012 à 696 milliards Fcfa en 2017 (1,4 milliard de dollars), soit une hausse de 55,5%, tandis que la valeur des importations des Etats-Unis est passée de 129,5 milliards de FCFA (259 millions de dollars) à 224 milliards (448 millions de dollars), soit un bond de 73%. Les échanges commerciaux sont donc passés globalement de 1.1 milliards dollars EU en 2012 à 1.8 Mds dollars EU en 2017 », indiquait-il. Il garde espoir que ces échanges économiques peuvent significativement progresser, eu égard aux potentiels des économies respectives.
Dans la foulée, Souleymane Diarrassouba exhorte les Américains à investir davantage en Côte d’Ivoire, par la présentation des secteurs prioritaires, à haut potentiel d’investissement dont les infrastructures socio-économiques, les infrastructures industrielles (zones d’activités économiques), les mines, l’agro-industrie et les autres industries manufacturières. Pour ce qui concerne les mines, il rappelle que la richesse du sous-sol ivoirien. « La Côte d’Ivoire dispose d’un important potentiel minier. Plus des deux tiers du territoire ivoirien sont couverts par des formations géologiques réputées riches en minéralisations aurifères.
Le potentiel minier est diversifié, avec notamment l’or, dont les réserves sont estimées à 600 tonnes, le diamant à plus de 10 millions de carats, le manganèse à 12 millions de tonnes, le nickel à 260 millions de tonnes, le cuivre-nickel à 50 millions de tonnes, la bauxite à 1,2 milliard de tonnes, le fer à 4 milliards de tonnes, le colombo tantalite, le phosphate, le lithium, le, le chrome, l’ilménite », estime le Ministre en charge de l’Industrie et des Mines qui rassure qu’un nouveau Code minier « plus attractif et plus compétitif » a été adopté en 2014, en vue mettre en valeur tout ce potentiel. « Il a permis d’accélérer la recherche et l’exploitation minière », souligne-t-il.
« La valeur des exportations de la Côte d’Ivoire vers les Etats-Unis est passée de 448 milliards Fcfa (896 millions de dollars EU) en 2012 à 696 milliards Fcfa en 2017 (1,4 milliard de dollars), soit une hausse de 55,5%, tandis que la valeur des importations des Etats-Unis est passée de 129,5 milliards de FCFA (259 millions de dollars) à 224 milliards (448 millions de dollars), soit un bond de 73%. Les échanges commerciaux sont donc passés globalement de 1.1 milliards dollars EU en 2012 à 1.8 Mds dollars EU en 2017 », indiquait-il. Il garde espoir que ces échanges économiques peuvent significativement progresser, eu égard aux potentiels des économies respectives.
Dans la foulée, Souleymane Diarrassouba exhorte les Américains à investir davantage en Côte d’Ivoire, par la présentation des secteurs prioritaires, à haut potentiel d’investissement dont les infrastructures socio-économiques, les infrastructures industrielles (zones d’activités économiques), les mines, l’agro-industrie et les autres industries manufacturières. Pour ce qui concerne les mines, il rappelle que la richesse du sous-sol ivoirien. « La Côte d’Ivoire dispose d’un important potentiel minier. Plus des deux tiers du territoire ivoirien sont couverts par des formations géologiques réputées riches en minéralisations aurifères.
Le potentiel minier est diversifié, avec notamment l’or, dont les réserves sont estimées à 600 tonnes, le diamant à plus de 10 millions de carats, le manganèse à 12 millions de tonnes, le nickel à 260 millions de tonnes, le cuivre-nickel à 50 millions de tonnes, la bauxite à 1,2 milliard de tonnes, le fer à 4 milliards de tonnes, le colombo tantalite, le phosphate, le lithium, le, le chrome, l’ilménite », estime le Ministre en charge de l’Industrie et des Mines qui rassure qu’un nouveau Code minier « plus attractif et plus compétitif » a été adopté en 2014, en vue mettre en valeur tout ce potentiel. « Il a permis d’accélérer la recherche et l’exploitation minière », souligne-t-il.
