Abidjan - L'ONG "Médecins du Monde" s’engage fermement pour la réduction significative du cancer du col de l’utérus en Côte d’Ivoire.
Cette organisation internationale a organisé, jeudi, un atelier de restitution et perspectives d’interventions en matière de lutte contre le cancer du col de l’utérus (CCU) en Côte d’Ivoire.
L’objectif de cette manifestation est de mobiliser l’ensemble des acteurs, impliqués sur cette thématique, société civile et les acteurs public et privés, selon Clémence la coordinatrice générale, Doumenc Aîdara.
Elle souhaite initier, à cet effet, une dynamique d’action en faveur de la disponibilité et l’accessibilité d’une offre de santé de qualité, avec en prime le dépistage précoce. « En dépistant de matière précoce, on peut éviter de nombreux cancers », a-t-elle dit.
Pour Médecins du Monde, en complément des programmes de vaccination, les activités de dépistage doivent se faire à partir de 25 ans, pour réduire considérablement le taux de mortalité.
Car, le CCU est le deuxième cancer, le plus fréquent après le cancer du sein et la principale cause de décès de cancer en Afrique subsaharienne, souligne-t-on.
Tout en déplorant le taux de couverture insuffisant pour un dépistage efficace, Dr Comoé Kouassi Comoé Jean, oncologue médical chargé de la multi sectorialité au Programme national de lutte contre le cancer penche pour l’équipement des sites avec des intrants fournis par l'Etat ivoirien et l'accès à tous par un coût modique.
Il donne l'alarme face à "un taux d’incidence du CCU qui est de 30% chez la femme.
Cette rencontre qui se tient, à la maison des Entreprises, dure deux jours et bénéficie du soutien du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, à travers son Programme national de lutte contre le cancer (PNLCA).
(AIP)
nmfa/fmo
Cette organisation internationale a organisé, jeudi, un atelier de restitution et perspectives d’interventions en matière de lutte contre le cancer du col de l’utérus (CCU) en Côte d’Ivoire.
L’objectif de cette manifestation est de mobiliser l’ensemble des acteurs, impliqués sur cette thématique, société civile et les acteurs public et privés, selon Clémence la coordinatrice générale, Doumenc Aîdara.
Elle souhaite initier, à cet effet, une dynamique d’action en faveur de la disponibilité et l’accessibilité d’une offre de santé de qualité, avec en prime le dépistage précoce. « En dépistant de matière précoce, on peut éviter de nombreux cancers », a-t-elle dit.
Pour Médecins du Monde, en complément des programmes de vaccination, les activités de dépistage doivent se faire à partir de 25 ans, pour réduire considérablement le taux de mortalité.
Car, le CCU est le deuxième cancer, le plus fréquent après le cancer du sein et la principale cause de décès de cancer en Afrique subsaharienne, souligne-t-on.
Tout en déplorant le taux de couverture insuffisant pour un dépistage efficace, Dr Comoé Kouassi Comoé Jean, oncologue médical chargé de la multi sectorialité au Programme national de lutte contre le cancer penche pour l’équipement des sites avec des intrants fournis par l'Etat ivoirien et l'accès à tous par un coût modique.
Il donne l'alarme face à "un taux d’incidence du CCU qui est de 30% chez la femme.
Cette rencontre qui se tient, à la maison des Entreprises, dure deux jours et bénéficie du soutien du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, à travers son Programme national de lutte contre le cancer (PNLCA).
(AIP)
nmfa/fmo