Entre la Côte d’Ivoire et son voisin du septentrion, le Burkina Faso, les signaux sont au vert, comme en témoignent les chiffres du ministère ivoirien du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme. Sur la période 2013 et 2017, les échanges commerciaux entre ces deux pays - qui entretiennent d’excellentes relations - sont passés de 255,567 milliards de FCfa à 319,741 milliards de FCfa. Cette performance représente « une hausse de plus de 25% », comme l’a révélé le ministre ivoirien du Commerce Souleymane Diarrassouba qui intervenait à l’occasion du lancement officiel du 1er forum économique réunissant hommes et femmes d’affaires ivoiriens et burkinabè qui s’est ouvert aujourd’hui (26 juillet 2018) à Yamoussoukro à l’occasion de la 7e conférence du Traité d’amitié et de coopération.
Le Burkina Faso reste le premier client de la Côte d’Ivoire avec 23,9% des exportations vers la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Les principaux produits exportés de la Côte d’Ivoire vers son partenaire burkinabé sont entre autres liés au pétrole, au tabac, à l’huile de palme, aux plastiques, aux huiles essentielles et aux café transformé. Quant au Burkina Faso, il exporte à son tour principalement le coton et les fruits et légumes frais. « Les opportunités existent pour la promotion et la croissance de nos échanges, qui doivent quitter les sentiers traditionnels focalisés sur les marchandises, pour capter les nouveaux produits, notamment l’échange de services », fait remarquer Souleymane Diarrassouba. Face difficultés qui empêchent les potentialités pouvant profiter aux deux Etats, le patron du commerce ivoirien pointe du doigt l’existence « encombrante de barrières tarifaires et non tarifaires, l’accès au financement et aux marchés, la fragilité de nos entrepreneurs devant les grosses firmes internationales et leurs filiales sur nos marchés ».
Amadou Gon Coulibaly et Paul Kaba THhiéba respectivement Premier ministre ivoirien et burkinabé ont pris part à cet important rendez-vous visant à identifier les opportunités d’investissements susceptibles de renforcer nos échanges et décliner les stratégies pour les consolider mais aussi à ouvrir les chantiers de la mutualisation de leurs capacités et compétences à travers des partenariats solides, la création d’entreprises ivoiro-burkinabè.
« Ces approches stratégiques devraient favoriser leur compétitivité sur le marché intra régional notamment et faciliter la captation de contrats majeurs. C’est en cela que le secteur privé ivoirien et burkinabè contribuera à la formation de champions régionaux, à la création de richesses et au développement des emplois, singulièrement au profit des jeunes », insiste le ministre.
Le Burkina Faso reste le premier client de la Côte d’Ivoire avec 23,9% des exportations vers la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Les principaux produits exportés de la Côte d’Ivoire vers son partenaire burkinabé sont entre autres liés au pétrole, au tabac, à l’huile de palme, aux plastiques, aux huiles essentielles et aux café transformé. Quant au Burkina Faso, il exporte à son tour principalement le coton et les fruits et légumes frais. « Les opportunités existent pour la promotion et la croissance de nos échanges, qui doivent quitter les sentiers traditionnels focalisés sur les marchandises, pour capter les nouveaux produits, notamment l’échange de services », fait remarquer Souleymane Diarrassouba. Face difficultés qui empêchent les potentialités pouvant profiter aux deux Etats, le patron du commerce ivoirien pointe du doigt l’existence « encombrante de barrières tarifaires et non tarifaires, l’accès au financement et aux marchés, la fragilité de nos entrepreneurs devant les grosses firmes internationales et leurs filiales sur nos marchés ».
Amadou Gon Coulibaly et Paul Kaba THhiéba respectivement Premier ministre ivoirien et burkinabé ont pris part à cet important rendez-vous visant à identifier les opportunités d’investissements susceptibles de renforcer nos échanges et décliner les stratégies pour les consolider mais aussi à ouvrir les chantiers de la mutualisation de leurs capacités et compétences à travers des partenariats solides, la création d’entreprises ivoiro-burkinabè.
« Ces approches stratégiques devraient favoriser leur compétitivité sur le marché intra régional notamment et faciliter la captation de contrats majeurs. C’est en cela que le secteur privé ivoirien et burkinabè contribuera à la formation de champions régionaux, à la création de richesses et au développement des emplois, singulièrement au profit des jeunes », insiste le ministre.