Le Ministère en charge du Commerce entend peser de tout son poids pour que la volonté du gouvernement en matière d’approvisionnement en bétail des marchés terminaux soit respectée. Toute chose qui explique une mission diligentée par le Secrétariat Exécutif du Conseil National de Lutte contre la Vie chère (CNLVC) du 25 au 29 juillet 2018.
« Dans le cadre du suivi permanent des prix des produits de grande consommation ainsi que la disponibilité à l’accessibilité desdits produits sur l’étendue du territoire national, des groupes de travail et de réflexion ont été constitués au sein du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère. C’est ainsi qu’un groupe de travail sur la filière bétail-viande a été mis en place en vue d’identifier tous les dysfonctionnements liés à l’inorganisation de la filière et qui contribueraient à renchérir le prix de la viande et du bétail sur les marchés », indiquait le Directeur général du Commerce intérieur, Aimé Koizan, au cours d’une rencontre avec les acteurs de la filière bétail, le jeudi 16 août 2018, au Plateau. Pour lui, en effet, ces dysfonctionnements se résument en termes de forte implication d’intermédiaires et de cartels communautaires, de coût élevé du transport, de pratique de convoyage et de tracasseries routières et autres perceptions illicites opérées par certaines organisations professionnelles.
Bien entendu, la mission de la CNVLC menée conjointement par l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT) et l’Unité de Lutte Contre le Racket (ULCR) a permis de vérifier l’effectivité des pratiques incriminées qui entravent l’approvisionnement régulier du marché. Il n’en fallait pas plus pour que le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, en collaboration avec son collègue des Ressources Animales et Halieutiques produisent un communiqué conjoint, à quelques jours de la fête de la Tabaski pour rappeler la procédure à suivre sur la route du bétail en Côte d’Ivoire.
Selon ce communiqué, « il est formellement interdit, sur l’étendue du territoire national, de procéder au convoyage de bétail sous toutes ses formes conformément à l’arrêté interministériel N°008 du 11 avril 2012 portant interdiction du convoyage ». Aussi, les Ministres rappellent-ils que seuls les frais de contrôle sanitaire sont soumis au paiement sur la route du bétail. A la clef, 150 Fcfa par tête d’ovin ou caprin et 250 Fcfa par tête de bovin. « En conséquence, tous les acteurs sont invités au strict respect des dispositions du présent communiqué, sous peine de sanctions conformément à la régulation en vigueur », mettent-ils en garde. D’autant plus que ces mesures visent au renforcement de la sécurisation des routes d’approvisionnement depuis les frontières jusqu’aux marchés terminaux.
« Dans le cadre du suivi permanent des prix des produits de grande consommation ainsi que la disponibilité à l’accessibilité desdits produits sur l’étendue du territoire national, des groupes de travail et de réflexion ont été constitués au sein du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère. C’est ainsi qu’un groupe de travail sur la filière bétail-viande a été mis en place en vue d’identifier tous les dysfonctionnements liés à l’inorganisation de la filière et qui contribueraient à renchérir le prix de la viande et du bétail sur les marchés », indiquait le Directeur général du Commerce intérieur, Aimé Koizan, au cours d’une rencontre avec les acteurs de la filière bétail, le jeudi 16 août 2018, au Plateau. Pour lui, en effet, ces dysfonctionnements se résument en termes de forte implication d’intermédiaires et de cartels communautaires, de coût élevé du transport, de pratique de convoyage et de tracasseries routières et autres perceptions illicites opérées par certaines organisations professionnelles.
Bien entendu, la mission de la CNVLC menée conjointement par l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT) et l’Unité de Lutte Contre le Racket (ULCR) a permis de vérifier l’effectivité des pratiques incriminées qui entravent l’approvisionnement régulier du marché. Il n’en fallait pas plus pour que le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, en collaboration avec son collègue des Ressources Animales et Halieutiques produisent un communiqué conjoint, à quelques jours de la fête de la Tabaski pour rappeler la procédure à suivre sur la route du bétail en Côte d’Ivoire.
Selon ce communiqué, « il est formellement interdit, sur l’étendue du territoire national, de procéder au convoyage de bétail sous toutes ses formes conformément à l’arrêté interministériel N°008 du 11 avril 2012 portant interdiction du convoyage ». Aussi, les Ministres rappellent-ils que seuls les frais de contrôle sanitaire sont soumis au paiement sur la route du bétail. A la clef, 150 Fcfa par tête d’ovin ou caprin et 250 Fcfa par tête de bovin. « En conséquence, tous les acteurs sont invités au strict respect des dispositions du présent communiqué, sous peine de sanctions conformément à la régulation en vigueur », mettent-ils en garde. D’autant plus que ces mesures visent au renforcement de la sécurisation des routes d’approvisionnement depuis les frontières jusqu’aux marchés terminaux.