L'Organisation des nations unies pour la science, l'éducation et la culture (UNESCO), a procédé, vendredi au Lycée technique de Yopougon (Ouest d'Abidjan) au lancement du projet «un jeune, un avenir », visant à insérer 150 jeunes dans le tissu socioprofessionnel à travers le sport.
« A travers ce projet, l'UNESCO entend encadrer 150 jeunes de l'ONG Sports Sans Frontières .Nous soutenons ce projet qui épouse un projet de l'UNESCO, qui est le renforcement de la participation des jeunes à la consolidation de la paix dans le nord, le sud, le centre, le centre-ouest et l'ouest de la Côte d'Ivoire » , a expliqué, Yao Ido, le représentant pays du système des nations unies pour l'éducation.
Le projet, selon lui, vise à terme à œuvrer à la cohésion sociale et au vivre ensemble entre les peuples ivoiriens. Aux jeunes sportifs pris en compte par le projet ''un jeune un avenir'', M. Yao a rappelé que « le football peut mener loin pourvu que nous le pratiquions avec la rigueur et le sérieux».
Saluant l'initiative à sa juste valeur, Arthur Dodo, le président de l'ONG a indiqué que son organisation entend, via ce projet, développer l'éducation par le sport, car, a-t-il estimé, « le sport éduque, canalise et oriente la jeunesse» .
«Un grand footballeur sans éducation et sans morale, est sans valeur » a-t-il conseillé aux sportifs en herbe soulignant que la volonté de son association est de « lutter contre l'immigration clandestine à travers l'initiative ».
HS/ls/APA
« A travers ce projet, l'UNESCO entend encadrer 150 jeunes de l'ONG Sports Sans Frontières .Nous soutenons ce projet qui épouse un projet de l'UNESCO, qui est le renforcement de la participation des jeunes à la consolidation de la paix dans le nord, le sud, le centre, le centre-ouest et l'ouest de la Côte d'Ivoire » , a expliqué, Yao Ido, le représentant pays du système des nations unies pour l'éducation.
Le projet, selon lui, vise à terme à œuvrer à la cohésion sociale et au vivre ensemble entre les peuples ivoiriens. Aux jeunes sportifs pris en compte par le projet ''un jeune un avenir'', M. Yao a rappelé que « le football peut mener loin pourvu que nous le pratiquions avec la rigueur et le sérieux».
Saluant l'initiative à sa juste valeur, Arthur Dodo, le président de l'ONG a indiqué que son organisation entend, via ce projet, développer l'éducation par le sport, car, a-t-il estimé, « le sport éduque, canalise et oriente la jeunesse» .
«Un grand footballeur sans éducation et sans morale, est sans valeur » a-t-il conseillé aux sportifs en herbe soulignant que la volonté de son association est de « lutter contre l'immigration clandestine à travers l'initiative ».
HS/ls/APA