Yamoussoukro-Lauréate du prix du meilleur établissement de restauration 2018, Koffi Ahou Madeleine, alias "Tantie Mado", propriétaire du célèbre maquis 106 a été reçu jeudi, par le préfet du département de Yamoussoukro, Brou Kouamé, qui a loué les qualités d’entreprenante et les mérites de la restauratrice qui honore toute la ville.
La meilleure restauratrice qu’accompagnait la directrice régionale du tourisme, Kouakou Akissi Emma, est allée présenter son trophée reçu des mains du président de la République lors de la sixième édition de la journée nationale du prix d’excellence organisée le 6 août, au palais de la présidence à Abidjan.
Déjà distinguée "femme entreprenante et dynamique 2017" par pluriel Communication, « Tantie Mado » a également reçu cette même année, le prix "Ambassadeur libre ensemble", délivré par l’organisation internationale de la Francophonie (OIF), et l’Université de la citoyenneté et de la bonne gouvernance (UCBG).
Toutefois, ce prix reçu « au plus haut sommet de l’Etat », « est pour moi la preuve d’une grande attention, et représente le couronnement de toute une vie, 35 ans de travail dans la restauration » , a déclaré satisfaite la tenancière de du maquis 106, « très reconnaissante » au président Ouattara et à son gouvernement pour l'engagement à promouvoir une société d’excellence.
Le préfet de Yamoussoukro a fait remarquer que si, dans toute la Côte d’Ivoire, c’est « notre sœur » Koffi Madeleine qui a été retenue, " c'est que la meilleure sauce est donc Yamoussoukro, la ville touristique de premier choix ».
Il a souligné que la qualité des mets et le bon accueil ont milité en faveur du propriétaire du maquis 106, «le beau cadre salubre et aéré qui fait la fierté aujourd'hui de la ville.
Le préfet a encouragé Dame Koffi Ahou Madeleine à continuer dans la dynamique de l’excellence et à toujours demeurer le modèle et l’exemple de par son travail unanimement su et reconnu au plan national, que devra imiter les autres.
Combative dans le travail, dame Koffi Ahou, la cinquantaine passée n’a jamais été à l’école. Passionnée de l’art culinaire, elle a commencé la restauration à l’époque du président Houphouët-Boigny, il y a 35 ans, avec seulement 50 000 FCFA, deux petites marmites, quatre chaises, deux tables et un congélateur en bois contenant du plastique à l’intérieur duquel elle déverse de la glace pour conserver la boisson, a expliqué Tantie Mado.
nam/fmo
La meilleure restauratrice qu’accompagnait la directrice régionale du tourisme, Kouakou Akissi Emma, est allée présenter son trophée reçu des mains du président de la République lors de la sixième édition de la journée nationale du prix d’excellence organisée le 6 août, au palais de la présidence à Abidjan.
Déjà distinguée "femme entreprenante et dynamique 2017" par pluriel Communication, « Tantie Mado » a également reçu cette même année, le prix "Ambassadeur libre ensemble", délivré par l’organisation internationale de la Francophonie (OIF), et l’Université de la citoyenneté et de la bonne gouvernance (UCBG).
Toutefois, ce prix reçu « au plus haut sommet de l’Etat », « est pour moi la preuve d’une grande attention, et représente le couronnement de toute une vie, 35 ans de travail dans la restauration » , a déclaré satisfaite la tenancière de du maquis 106, « très reconnaissante » au président Ouattara et à son gouvernement pour l'engagement à promouvoir une société d’excellence.
Le préfet de Yamoussoukro a fait remarquer que si, dans toute la Côte d’Ivoire, c’est « notre sœur » Koffi Madeleine qui a été retenue, " c'est que la meilleure sauce est donc Yamoussoukro, la ville touristique de premier choix ».
Il a souligné que la qualité des mets et le bon accueil ont milité en faveur du propriétaire du maquis 106, «le beau cadre salubre et aéré qui fait la fierté aujourd'hui de la ville.
Le préfet a encouragé Dame Koffi Ahou Madeleine à continuer dans la dynamique de l’excellence et à toujours demeurer le modèle et l’exemple de par son travail unanimement su et reconnu au plan national, que devra imiter les autres.
Combative dans le travail, dame Koffi Ahou, la cinquantaine passée n’a jamais été à l’école. Passionnée de l’art culinaire, elle a commencé la restauration à l’époque du président Houphouët-Boigny, il y a 35 ans, avec seulement 50 000 FCFA, deux petites marmites, quatre chaises, deux tables et un congélateur en bois contenant du plastique à l’intérieur duquel elle déverse de la glace pour conserver la boisson, a expliqué Tantie Mado.
nam/fmo