Le 24 septembre 2018 s’est déroulé au centre de lecture et d’animation culturelle (CLAC) de la ville de Sirasso dans le Nord de la Côte d’Ivoire, le lancement de la mise en oeuvre des projets communautaires de la société de recherche minière METCI, une filiale de SEMAFOI NC au bénéfice des 12 villages impactés par le projet minier. «Le rôle des sociétés minières dans le développement local» est le thème de cette mise en oeuvre. Met-ci est titulaire du permis de recherche No 421 par décret présidentiel signé par le président de la république Alassane Ouattara après avis consultatif de plusieurs ministres (agriculture, eaux et forêt, environnement, budget). Ce Permis de recherche minière qui a une durée maximum de 10 ans et s’étend sur une superficie de 400 Km2 soit 40 000 hectares couvrant 12 villages des sous préfectures de Sirasso, Kanoroba et Dikodougou des cantons ’’Kafigue et Koufoulo" dans la région du Poro dans le Nord ivoirien.
Pour David Lalonde, directeur de l’exploration minière SEMAFO INC co gérant MET –Côte d’Ivoire, « selon le code minier ivoirien, les compagnies minières ne sont tenues d’élaborer et d’exécuter un plan de développement communautaire que seulement quand elles doivent passer à la phase d’exploitation. D’ou , l’exécution des présents projets communautaires pendant cette phase d’exploration et prioritairement destinés, à l’éducation (réhabilitation d’écoles, équipements en tables bancs...), la santé (réhabilitation de centre de santé) et l’accès à l’eau potable (forages pompes à motricité humaine), rentre dans le cadre de favoriser un climat de paix, d’harmonie et de cohésion entre les bénéficiaires et la structure pour un partenariat gagnant-gagnant ». Les travaux démarrent juste après la cérémonie de lancement précisément dans les 12 villages impactés que sont Sapkélé, Dagba, Séguébé (sirasso) , Sologbo, Sedakaha, Largatonkaha, Sindya, Dotanakaha, Kiéré, Seydoukaha, Séguébé (dikodougou) et Sefon pour un budget annuel de 68 millions F CFA, a -t-il précisé. C’était en présence du secrétaire général de la préfecture de Korhogo Djandé Lorgn Abou Béchir Nouho, représentant le préfet du département de korhogo, préfet de la région du Poro , les sous préfets des cantons kafigue et du koufoulo dont à leur tête Kouassi Detoh Marcellin S/P de Sirasso, des élus locaux, des cadres, des forces de défenses et sécurités, d’un gotha de chefs coutumiers et religieux , d’une imposante présence de femmes et de jeunes et du personnel de la société Met-CI.
« Nous voulons garder un respect chaleureux avec les populations tout en étant dans notre expertise qui sont l’exploration, la géologie et le monde minier. on veut apporter le développement, le succès, la création d’emplois. On s’engage certes à avoir des résultats d’exploration mais aussi à développer des actions communautaires au bénéfice des populations dans un cadre de climat apaisé », a indiqué David Lalonde. Pour joindre l’acte à la parole, il a procédé la veille, 23 septembre 2018 en compagnie du sous préfet et du chef de canton de Sirasso, au démarrage des travaux du forage d’eau du village Sologbo dont l’eau a jailli des entrailles de terre en quelques heures pour le bonheur des populations de cette localité. Ce vient mettre ainsi fin « aux interminables disputes entre les femmes aux abords des puits de fortunes et des eaux des marigots sources des maladies hydriques », a témoigné le chef de village de Sologbo Soro Dokourgo.
Le sous préfet de Sirasso, Kouassi Detho Marcellin, a pour sa part exhorté les populations des trois sous préfectures à s’approprier le projet de recherche minière autorisée par le président de la république. « Nous avons travaillé ensemble avec la structure d’exploration minière et des doléances provenant directement des populations impactées par le projet ont été portées à notre connaissance. Et ensemble avec le chef de canton Silué Pkaratiogo, nous avons porté ces préoccupations à la société minière qui a eu une oreille attentive. C’est une première du genre dans la circonscription administrative. Nous demandons aux populations de la patience, d’être indulgentes aux deux autres projets qui sont assujettis à des conditions liées à leurs adhésions et aux résultats auxquels la société va parvenir. Nous demandons leur adhésion totale pour que le projet puisse prendre forme et arriver à bon port. Les différends qui pourraient se produire peuvent se résoudre par le dialogue dans un cadre réglementaire ».
Guy Silvère Kouamé, chef de service industrie de la direction régionale de l’industrie et des mines du Poro, développant le thème ‘’ rôle des sociétés minières dans le développement local ‘’ a précisé ceci: « les dispositions du code minier de la Côte d’Ivoire indiquent clairement que les compagnies minières ne sont tenues d’élaborer et d’exécuter un plan de développement communautaire quand et seulement quand elles doivent passer à la phase d’exploitation. Ce qui n’est pas le cas de la société MET-CI qui, déjà en phase de recherche procède à la réalisation de projets communautaires dans les villages impactés». Puis d’ interpeller les populations et les cadres des sous préfectures de Sirasso, Kanoroba et Dikodougou à accompagner fraternellement et faciliter les activités de recherche de la société MET-CI sur le terrain afin de mettre en évidence dans les meilleurs délais un gisement important pour le bonheur de tous ».
Idem pour le SG de la préfecture de korhogo Djandé Lorgn Abou Béchir. Il a exhorté les cadres et les populations des trois sous préfectures à s’approprier « cet outil de développement que leur a offert le président de la république Alassane Ouattara en signant le décret de permis de recherche No 421 à Met-ci pour mener des recherches minières».
L’autorité administrative a rendu des hommages vibrants au sous préfet de Sirasso et au chef de canton qui sont (des agents de développement) dont les actions rentrent dans la vision du président de la république pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020. Le SG de préfecture a enfin lancé un appel pressant aux cadres et opérateurs des cantons du ’’kafigue et du koufoulo’’ à conjuguer les efforts communs pour la construction des locaux de la brigade de gendarmerie qui s’impose pour une sécurité stable de la région.
Aly O.
(Correspondant régional)
Pour David Lalonde, directeur de l’exploration minière SEMAFO INC co gérant MET –Côte d’Ivoire, « selon le code minier ivoirien, les compagnies minières ne sont tenues d’élaborer et d’exécuter un plan de développement communautaire que seulement quand elles doivent passer à la phase d’exploitation. D’ou , l’exécution des présents projets communautaires pendant cette phase d’exploration et prioritairement destinés, à l’éducation (réhabilitation d’écoles, équipements en tables bancs...), la santé (réhabilitation de centre de santé) et l’accès à l’eau potable (forages pompes à motricité humaine), rentre dans le cadre de favoriser un climat de paix, d’harmonie et de cohésion entre les bénéficiaires et la structure pour un partenariat gagnant-gagnant ». Les travaux démarrent juste après la cérémonie de lancement précisément dans les 12 villages impactés que sont Sapkélé, Dagba, Séguébé (sirasso) , Sologbo, Sedakaha, Largatonkaha, Sindya, Dotanakaha, Kiéré, Seydoukaha, Séguébé (dikodougou) et Sefon pour un budget annuel de 68 millions F CFA, a -t-il précisé. C’était en présence du secrétaire général de la préfecture de Korhogo Djandé Lorgn Abou Béchir Nouho, représentant le préfet du département de korhogo, préfet de la région du Poro , les sous préfets des cantons kafigue et du koufoulo dont à leur tête Kouassi Detoh Marcellin S/P de Sirasso, des élus locaux, des cadres, des forces de défenses et sécurités, d’un gotha de chefs coutumiers et religieux , d’une imposante présence de femmes et de jeunes et du personnel de la société Met-CI.
« Nous voulons garder un respect chaleureux avec les populations tout en étant dans notre expertise qui sont l’exploration, la géologie et le monde minier. on veut apporter le développement, le succès, la création d’emplois. On s’engage certes à avoir des résultats d’exploration mais aussi à développer des actions communautaires au bénéfice des populations dans un cadre de climat apaisé », a indiqué David Lalonde. Pour joindre l’acte à la parole, il a procédé la veille, 23 septembre 2018 en compagnie du sous préfet et du chef de canton de Sirasso, au démarrage des travaux du forage d’eau du village Sologbo dont l’eau a jailli des entrailles de terre en quelques heures pour le bonheur des populations de cette localité. Ce vient mettre ainsi fin « aux interminables disputes entre les femmes aux abords des puits de fortunes et des eaux des marigots sources des maladies hydriques », a témoigné le chef de village de Sologbo Soro Dokourgo.
Le sous préfet de Sirasso, Kouassi Detho Marcellin, a pour sa part exhorté les populations des trois sous préfectures à s’approprier le projet de recherche minière autorisée par le président de la république. « Nous avons travaillé ensemble avec la structure d’exploration minière et des doléances provenant directement des populations impactées par le projet ont été portées à notre connaissance. Et ensemble avec le chef de canton Silué Pkaratiogo, nous avons porté ces préoccupations à la société minière qui a eu une oreille attentive. C’est une première du genre dans la circonscription administrative. Nous demandons aux populations de la patience, d’être indulgentes aux deux autres projets qui sont assujettis à des conditions liées à leurs adhésions et aux résultats auxquels la société va parvenir. Nous demandons leur adhésion totale pour que le projet puisse prendre forme et arriver à bon port. Les différends qui pourraient se produire peuvent se résoudre par le dialogue dans un cadre réglementaire ».
Guy Silvère Kouamé, chef de service industrie de la direction régionale de l’industrie et des mines du Poro, développant le thème ‘’ rôle des sociétés minières dans le développement local ‘’ a précisé ceci: « les dispositions du code minier de la Côte d’Ivoire indiquent clairement que les compagnies minières ne sont tenues d’élaborer et d’exécuter un plan de développement communautaire quand et seulement quand elles doivent passer à la phase d’exploitation. Ce qui n’est pas le cas de la société MET-CI qui, déjà en phase de recherche procède à la réalisation de projets communautaires dans les villages impactés». Puis d’ interpeller les populations et les cadres des sous préfectures de Sirasso, Kanoroba et Dikodougou à accompagner fraternellement et faciliter les activités de recherche de la société MET-CI sur le terrain afin de mettre en évidence dans les meilleurs délais un gisement important pour le bonheur de tous ».
Idem pour le SG de la préfecture de korhogo Djandé Lorgn Abou Béchir. Il a exhorté les cadres et les populations des trois sous préfectures à s’approprier « cet outil de développement que leur a offert le président de la république Alassane Ouattara en signant le décret de permis de recherche No 421 à Met-ci pour mener des recherches minières».
L’autorité administrative a rendu des hommages vibrants au sous préfet de Sirasso et au chef de canton qui sont (des agents de développement) dont les actions rentrent dans la vision du président de la république pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020. Le SG de préfecture a enfin lancé un appel pressant aux cadres et opérateurs des cantons du ’’kafigue et du koufoulo’’ à conjuguer les efforts communs pour la construction des locaux de la brigade de gendarmerie qui s’impose pour une sécurité stable de la région.
Aly O.
(Correspondant régional)