Abidjan - Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a donné son feu vert, mardi, à Abidjan, à une prise de participation de 15 millions d’euros dans le fonds FIVE (Financial inclusion vehicle), un instrument d’inclusion financière mis en place en 2017 par le groupe AfricInvest.
Fonds évolutif visant un capital de 200 millions d’euros, FIVE a vocation à prendre des participations et des quasi-participations (sous forme de financement) dans des banques de taille moyenne (institutions financières dites de deuxième catégorie) et de petite taille (institutions financières de troisième catégorie), annonce un communiqué de l’institution transmis, vendredi, à l’AIP.
L’objectif est de les aider à accomplir leur transformation numérique et les encourager à octroyer des prêts aux PME africaines, qui souffrent aujourd’hui d’un déficit de financement.
La Banque africaine de développement a décidé de prendre une participation de 15 millions d’euros au capital du fonds FIVE dans le but d’aider à la transformation numérique des institutions financières en Afrique et ainsi leur permettre de tirer profit des évolutions et des opportunités du secteur.
FIVE accompagnera la transformation numérique de ces banques en leur fournissant des conseils stratégiques et des capitaux, et en les aidant à optimiser leur gouvernance et leurs opérations. Le fonds les aidera également à conclure des partenariats avec, notamment, des compagnies d’assurance classiques, les opérateurs de réseaux mobiles, les sociétés de transfert d’argent.
Concrètement, le fonds FIVE investit des capitaux propres et des titres de créance convertibles dans des institutions financières qui ont besoin d’accroitre leur bilan et d’intégrer des technologies qui leur permettent d’élargir leurs gammes de services aux populations non bancarisées.
Parmi les institutions que cible le fonds FIVE, figurent les établissements financiers classiques (banques commerciales prêtant aux PME, compagnies d’assurance offrant des produits à bas prix), ainsi que les sociétés de technologies financières (Fintech) qui exploitent la technologie pour offrir des services financiers numériques et les opérateurs de réseaux mobiles.
(AIP)
kkf/kam
Fonds évolutif visant un capital de 200 millions d’euros, FIVE a vocation à prendre des participations et des quasi-participations (sous forme de financement) dans des banques de taille moyenne (institutions financières dites de deuxième catégorie) et de petite taille (institutions financières de troisième catégorie), annonce un communiqué de l’institution transmis, vendredi, à l’AIP.
L’objectif est de les aider à accomplir leur transformation numérique et les encourager à octroyer des prêts aux PME africaines, qui souffrent aujourd’hui d’un déficit de financement.
La Banque africaine de développement a décidé de prendre une participation de 15 millions d’euros au capital du fonds FIVE dans le but d’aider à la transformation numérique des institutions financières en Afrique et ainsi leur permettre de tirer profit des évolutions et des opportunités du secteur.
FIVE accompagnera la transformation numérique de ces banques en leur fournissant des conseils stratégiques et des capitaux, et en les aidant à optimiser leur gouvernance et leurs opérations. Le fonds les aidera également à conclure des partenariats avec, notamment, des compagnies d’assurance classiques, les opérateurs de réseaux mobiles, les sociétés de transfert d’argent.
Concrètement, le fonds FIVE investit des capitaux propres et des titres de créance convertibles dans des institutions financières qui ont besoin d’accroitre leur bilan et d’intégrer des technologies qui leur permettent d’élargir leurs gammes de services aux populations non bancarisées.
Parmi les institutions que cible le fonds FIVE, figurent les établissements financiers classiques (banques commerciales prêtant aux PME, compagnies d’assurance offrant des produits à bas prix), ainsi que les sociétés de technologies financières (Fintech) qui exploitent la technologie pour offrir des services financiers numériques et les opérateurs de réseaux mobiles.
(AIP)
kkf/kam